Juste pour savoir : je me suis trouvé un jour sous un orage maousse kosto avec de la grèle comme pas possible.



Pour ma part, s'il n'y a pas d'abri, je roule au pas et bien à droite. Ai je faux..?
@ vous les studios
Rooominet
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Pour ma part, je préfère rester à l'abri sous un pont (si j'en trouve un à porter de roue). Quitte à ce que l'eau coule dans mon cou en attendant.Rooominet a écrit :Bonjour,
Juste pour savoir : je me suis trouvé un jour sous un orage maousse kosto avec de la grèle comme pas possible.Je me suis arrété sous un pont juste au début alors que cela commençais sérieusement à crépiter sur le casque et la chaussée commençait à disparaitre sous un tapis blanc. Ai-je bien fait de m'abriter comme je le crois, ou aurais je pu continuer à rouler doucement
Que faire s'il n'y a pas d'abri ? Question qui peut servir à tous...
C'est une situation qui peut se présenter en cette période de giboulées..
Pour ma part, s'il n'y a pas d'abri, je roule au pas et bien à droite. Ai je faux..?
@ vous les studios
Rooominet
C'est ce que j'ai fait : ouff ! et impressionné de voir ce qui est tombé et à quoi j'ai échappé !Luc a écrit :Pour ma part, je préfère rester à l'abri sous un pont (si j'en trouve un à porter de roue).
Là, je lève la tête, à l'arret, et je regarde l'orientation des nuages et du vent. En fonction, j'arrête, je continue ou demi tour si un bled proche pour m'abriter.Continuer à rouler dans ces conditions me semble un poil dangereux, même à vitesse modérée :
- tu ne sais pas si tu roules dans la même direction que le nuage => ça peut durer longtemps,
Je suis bien d'accord. En fonction de l'ampleur du phénomène, c'est évident, j'arrète si je ne trouve pas d'abri. Mais, c'est la galère. Cà m'est arrivé entre Martigny (Suisse) et Le Chatelard (France/frontière). Glaglagla. Je suis allé me réchauffer à la pompe à essence "Elan", à droite à la frontière. Ils y vendent du chocolat suisse- si la route est recouverte de grêlons, c'est comme des milliers de petites billes : glissouille assuré (si ce n'est pas pire...)
- qui te dit que les petits grêlons du début ne vont pas se transformer en oeuf de poule quelques mètres plus loin ??? Là, c'est carrément dangereux.
Si ça tombe vraiment drû, tu verras pas grand chose... même à l'arrêt.Rooominet a écrit :Là, je lève la tête, à l'arret, et je regarde l'orientation des nuages et du vent. En fonction, j'arrête, je continue ou demi tour si un bled proche pour m'abriter.
Dans tous les cas, le meilleur est de s'arrêter pour se réchauffer soit dans :Cà m'est arrivé entre Martigny (Suisse) et Le Chatelard (France/frontière). Glaglagla. Je suis allé me réchauffer à la pompe à essence "Elan", à droite à la frontière. Ils y vendent du chocolat suisseet le plein au prix suisse.
Ben, comme ils disent là-bas : "Y a pas le feu au lac".... à prononcé avé l'assent suiiiiisssssseeeeLuc a écrit :- une station service en Suisse (dis moi, les grêlons ne sont pas plus lent lààà baaas ?)
Si tu étais allé chercher une guzzi, Le Mans par exemple, je suis sur que le ciel aurait été bleufranky44 a écrit :La dernière en date est quand j'ai été cherché ma K1100 au mans, pluie sur tout le trajet du retour, et une bonne grele à St etienne de montluc, pour finir avaec le soleil juste à Guerande.
Les grêlons ne chantaient pas "god save the triple", par hasard ???franky44 a écrit :La dernière en date est quand j'ai été cherché ma K1100 au mans, pluie sur tout le trajet du retour, et une bonne grele à St etienne de montluc, pour finir avaec le soleil juste à Guerande.