Je suis, entre autres, un indécrottable adepte du rock (progressif, alternatif, blues, boogie, voire Hard.... le heavy et le métal me laissant froid).
Mais fut une époque, reculée et boutonneuse, où l'on découvrait la bière et les concours du plus long roulage de palot.
Une époque où nous ne supportions que le rock dans son plus pur style.
Nous en étions d'ailleurs de bien beaux exemples, chevelus boutonneux puriste juskoboutiste (pitoyable... avec le recul)
Mais voilà, dans les boums organisées dans les garages des uns et des autres, dans l'espoir ultime d'accéder au nirvana du pallo et pelotage libérateur, les puristes que nous étions, acceptions qu'un vinyl inpure ose user les diamants de nos platines et allumer fébrilement les spots colorés.
Là, nous découvrions, méduser, que l'industrie du disque pouvait produire des hydres à deux têtes ou des OGM instables...
Arghh... même Genesis, Yes et les Floyd nous pondaient des soupes infâmes...
C'est d'ailleurs à cette époque que j'ai dû commencer à boire de la bière et fumer des clopes.
Sans doute pour oublier... rateaux et top 50...
Et pouvoir ainsi se consacrer à la moto et à tous ces nouveaux groupes tels que Radiohead, puis plus tard, l'époque rock revival Led zep, Who, ZZ, Status quo, Genesis, Van der Graaf Generator, Tangerine dream.... et les p'tits derniers comme, par exemple, Muse (concert super à Nantes, ndlr), Green Day, ou les p'tits frères de Deep Purple (à mon sens) : Queens of the Stone Age...