En comptant THE PHENOMENE MP3 LT qui est vraiment comme je le dis plus haut, la vrai tendance du marché 2010.Easy Rider a écrit :Pourquoi donc la part de marché des nippons passe en dessous de 50% et aucune de leurs 4 enseignes ne connait de progression...?
Existe t'il encore des amateurs de japonaises?
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Aaaah,tu as du mal à t'en remettre de celle la!Easy Rider a écrit :et dire qu'il y aura 17,3% de conducteurs de motos neuves de plus à se faire ch... en 2010 qu'en 2009, sans compter qu'en plus ces saloperies de B... roulent beaucoup plus et beaucoup plus longtemps que les autres, ce qui va faire ch... encore plus de monde sur leurs bécanes. C'est terrible!


Dernière modification par Taz le dim. juin 05, 2011 18:34, modifié 1 fois.
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Amis motardes et motards
Bonjour
Quelques clins d'oeil à travers mes lorgnons....
1.
anecdocte : en 1980 sur le rally paris-dakar 4 vespa au départ et 2 à l'arrivée...
2.
existe en 125, 250, 300, 400 et 500cm3
3.
De la musique italienne sûrement ! Forza Maestro !
4.
Leurs mises en application a sonné le glas de nombreux moteurs gourmands en sensation et en essence...
5.
Au fait je ne suis pas sur d'avoir bien compris ce mot... C'est pas électrique au moins ?....
6.
7.
. BMW gamme 650 et 800 cm3
. Triumph bonneville et scrambler
. Derbi Mulhacéen 659 cm3
. Ural en solo et le top (une fois l'expérience acquise...) la même attelée à un side (j'en bave...)
. Guzzi breva 750 cm3 <------ ici ma première moto...
8.
.être conducteur d'une moto à 2 ou 3 roues quelque soit sa cylindrée (supérieur à 50 cm3)
.être pilote sportif de moto
.disposer d'un permis de conduire Ad-hoc
.être vetu intégralement ou en partie d'habits associés aux motards...
.être passager d'une motocyclette
.faire parti des forces de l'ordre à motocyclette (police, gendarmerie, douanes)
Taz c'est ok pour toi !
P.S. Au Québec et c'est charmant, un motard est synonyme de biker délinquant !...
9.
10.
Je préfére le monde réel. La Chine et l'Inde(et leurs copies) arrivent...
Le Japon et le reste du monde vont encore plus trembler
11.
12.
13.
La version du bloc Minarelli de 660 cm3 date du milieu des années 2000 (2004).
Il ne peut être celui que tu as connu lors de tes vertes années.
Le 500 xt a commencé sa carrière en 1975, le 600 a pris sa sucession au début des années 80 (1982) jusqu'en 2003, où la norme euro3 a eu sa peau... A l'époque de tes plateaux et du début de ta carrière de motocycliste, tu devais manquer de poil pour ne pas te faire botter les fesses !... Le 500 et le 600 étaient connus à l'époque pour leurs qualités brutes. L'euro3 a gommé en partie le coup de pied au cul, mais je peux te confirmé qu'il existe encore (il fait peut-être moins mal...) sur le xtz 660 de 2008.
Je n'ai pas réussi à mettre les noms des auteurs des citations - désolé - je débute
Je n'ai pas fait avancer le sch... cheu.. schmilblick
Bon !!... alors je baisse le rideau et je retourne dans mon placard
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un Btwin forever
Bonjour
Quelques clins d'oeil à travers mes lorgnons....
1.
Autrefois l'équivalent s'appelait des Vespa et c'était italienMais ne crois pas qu'il y a que les BM qui roule plus et longtemps... Y a des japonaises aussi,même des tupperwares...
anecdocte : en 1980 sur le rally paris-dakar 4 vespa au départ et 2 à l'arrivée...

2.
Encore de l'italienEn comptant THE PHENOMENE MP3 LT qui est vraiment comme je le dis plus haut, la vrai tendance du marché 2010.
existe en 125, 250, 300, 400 et 500cm3
3.
Il passe de la musique japonaise sur cette radio ?...Voilà, version FIP (et pas BFM).
De la musique italienne sûrement ! Forza Maestro !

4.
A l'époque les normes euro1, euro2 et euro3 (bientôt euro4 -2012 et euro 5 - 2015) n'existaient pas pour les motos.Attention a la notion de caractere moteur et au phenomene de mode, il y a 10/15 ans, le multicylindre etait l'architecture dans le vent...
Leurs mises en application a sonné le glas de nombreux moteurs gourmands en sensation et en essence...

5.
Ah bon!... On ne vit pas sur la même planète, je préfère la mienne - pas de gamelles à mort et pas de branchouille ?...Heu ?!Aujourd'hui, la tendance est inversé, on reduit le nombre de gammelles a mort et le mono redeviens l'architecture branchouille alors que le marché en offre presques plus aucun (a part KTM).
Au fait je ne suis pas sur d'avoir bien compris ce mot... C'est pas électrique au moins ?....

6.
Yeah !.... Enfin de l'espoir dans ce monde !...à mon sens le moindre 4 pattes est dénué de caractère (Je parle même pas d'un 6!). Mono,bi ou tri Là il y a quelque choses!Ici encore,chacun est juge...

7.
choix perso (une préférée, devinez laquelle !...)Petit question : Sur quelle moto européenne, à la fois sécurisante, passe partout et pas trop gourmande en entretien et en consommation, pourrait on démarrer sa découverte de la moto, une fois le permis en poche ?
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8.
un motard c'est (définitions pompées dans wikipédia)Mais qu'est-ce qu'un motard??? Une personne qui va tout les jours au boulot en moto ou une personne qui ce sert de son maxi scoot que pour ce taper des bornes et des virages pour le plaisir??????????????????????????????
.être conducteur d'une moto à 2 ou 3 roues quelque soit sa cylindrée (supérieur à 50 cm3)
.être pilote sportif de moto
.disposer d'un permis de conduire Ad-hoc
.être vetu intégralement ou en partie d'habits associés aux motards...
.être passager d'une motocyclette
.faire parti des forces de l'ordre à motocyclette (police, gendarmerie, douanes)
Taz c'est ok pour toi !

P.S. Au Québec et c'est charmant, un motard est synonyme de biker délinquant !...

9.
Ca vient pas de la moto - Essaie de rouler sur des départementales et mange moins de pruneaux. Tu verras ca ira mieux...BMW,trop sérieux (ou alors carrément pas:S1000R). Tu roule,tu roule et au bout d'un moment tu te fait chi...

10.
Ok la-dessus. Mais moi les stats ça me gonfle...Dans le Top 5, 1 non japonaises et qui a elle seule represente plus de la moitié des vente de la gamme complete de cette marque
Dans le top 10, 3 non japonaise (meme remarque, a part ces 2 modeles, BM vend rien ou presque, ils representent presque 50% des ventes total de la marque).
Je préfére le monde réel. La Chine et l'Inde(et leurs copies) arrivent...
Le Japon et le reste du monde vont encore plus trembler

11.
Je sais pas, mais certains semblent déjà parler chinois...Y a t'il un japonais dans la salle?

12.
Ah là je comprends...Mais cela ne nous empêche pas de nous faire plaisir sur nos belles départementales, quelque soit la marque et le modèle sur lequel on pilote.

13.
Rectif (corrige-moi si je me trompe)C'est meme tellement caricaturale que j'entend regulierement des proprios de mono cylindre 650 minarelli me vanter le coup de pied au cul et le caractere de brut de leur moteur alors que pour l'avoir conduit pas mal pour passer mon permis et ponctuellement ensuite, c'est un moteur nettement plus fade qu'un 4 en ligne de CBF600

La version du bloc Minarelli de 660 cm3 date du milieu des années 2000 (2004).
Il ne peut être celui que tu as connu lors de tes vertes années.
Le 500 xt a commencé sa carrière en 1975, le 600 a pris sa sucession au début des années 80 (1982) jusqu'en 2003, où la norme euro3 a eu sa peau... A l'époque de tes plateaux et du début de ta carrière de motocycliste, tu devais manquer de poil pour ne pas te faire botter les fesses !... Le 500 et le 600 étaient connus à l'époque pour leurs qualités brutes. L'euro3 a gommé en partie le coup de pied au cul, mais je peux te confirmé qu'il existe encore (il fait peut-être moins mal...) sur le xtz 660 de 2008.

Je n'ai pas réussi à mettre les noms des auteurs des citations - désolé - je débute

Je n'ai pas fait avancer le sch... cheu.. schmilblick
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J'ai passé le permis sur la version 600 et eu plusieurs fois l'occasion de tester le 660 sous plusieurs marques...ChristianBN a écrit :La version du bloc Minarelli de 660 cm3 date du milieu des années 2000 (2004).
Il ne peut être celui que tu as connu lors de tes vertes années.
Le 500 xt a commencé sa carrière en 1975, le 600 a pris sa sucession au début des années 80 (1982) jusqu'en 2003, où la norme euro3 a eu sa peau... A l'époque de tes plateaux et du début de ta carrière de motocycliste, tu devais manquer de poil pour ne pas te faire botter les fesses !... Le 500 et le 600 étaient connus à l'époque pour leurs qualités brutes. L'euro3 a gommé en partie le coup de pied au cul, mais je peux te confirmé qu'il existe encore (il fait peut-être moins mal...) sur le xtz 660 de 2008.![]()
Bein si t'appelle ca un coup de pied au cul, c'est que tu dois croire que la 750 Breva est une vrai Guzzi?????


PS: j'adore les Guzzi, je connais tres bien la gamme, je suis juste pas pret a rouler tout les jours dessus rapport au SAV et a la fiabilité, mais si je devais avoir une européenne, ca sera ca ou une MV augusta...
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ChistianBN, ta mauvaise foi polie me fait chaud au coeur.
Passe la 2nd !
Taz roucoule doument en 3ème.....
PascalusIV, t'es en sous-régime là. Descend un rapport pour remonter dans les tours.
Le soucis de ce post, c'est qu'on hésite, on tortille de l'arrière train, le regard n'est pas franc, on prends la mesure de l'adversaire.
On ne sait pas s'il faut rester sur l'argumentation, sérieuse, étayée, structurée, justifiée, bla-bla-bla....
Intéressant, mais un peu chiant quand même, il faut bien avouer.
Ou tomber dans la plus pure mauvaise foi motardesque, celle qui nous fait vibrer, où le podium est digne d'un "Ecole des Fan" de la grande époque.
Ca ne fait pas avancer l'affaire, mais ça soude un groupe .... et qu'est-ce qu'on se marre, qu'on s'en paye une bonne tranche !
Tri for ever !
God save the 3 holly cylinders !
Par la sainte Tri-cylindrée, Amen.
Je suis tri ...et vous ?
3, le nombre d'or de la moto.
...
..
.
Passe la 2nd !

Taz roucoule doument en 3ème.....
PascalusIV, t'es en sous-régime là. Descend un rapport pour remonter dans les tours.
Le soucis de ce post, c'est qu'on hésite, on tortille de l'arrière train, le regard n'est pas franc, on prends la mesure de l'adversaire.
On ne sait pas s'il faut rester sur l'argumentation, sérieuse, étayée, structurée, justifiée, bla-bla-bla....
Intéressant, mais un peu chiant quand même, il faut bien avouer.
Ou tomber dans la plus pure mauvaise foi motardesque, celle qui nous fait vibrer, où le podium est digne d'un "Ecole des Fan" de la grande époque.
Ca ne fait pas avancer l'affaire, mais ça soude un groupe .... et qu'est-ce qu'on se marre, qu'on s'en paye une bonne tranche !



Tri for ever !
God save the 3 holly cylinders !
Par la sainte Tri-cylindrée, Amen.
Je suis tri ...et vous ?
3, le nombre d'or de la moto.
...
..
.
Mon cher ChristianBN,
Il est clair que tu ne me connais encore pas très bien. Si tu retourne dans ma présentation du y verra que j'ai plus de 350000km de MOTO fait pour, aller,80% sur départementales,communales,vicinales et même chemin.La plus part du temps sur des gros trails ou supermotards.Le sérieux des 1100 et 1150 GS que j'ai possédé faisait que j'emmanchais à vitesse peu raisonnable et sans problèmes les virolos de ces (toutes) petites routes.Sans problèmes,mais sans surprise ou sans me battre sans sensation,ce qui enlève,tu en conviendras,le charme de la moto (à l'attaque?)
Sur ma présentation tu y liras,également,que j'ai un scooter par choix,pour essayer. j'ai choisi le TMax car c'est le seul à être capable d'étancher ma soif de petites routes viroleuses.
Et une bonne fois pour toute,laissez tomber le MP3 LT,c'est l'équivalent d'une voiture. A ce moment là,prenez le MP3 RL
Il est clair que tu ne me connais encore pas très bien. Si tu retourne dans ma présentation du y verra que j'ai plus de 350000km de MOTO fait pour, aller,80% sur départementales,communales,vicinales et même chemin.La plus part du temps sur des gros trails ou supermotards.Le sérieux des 1100 et 1150 GS que j'ai possédé faisait que j'emmanchais à vitesse peu raisonnable et sans problèmes les virolos de ces (toutes) petites routes.Sans problèmes,mais sans surprise ou sans me battre sans sensation,ce qui enlève,tu en conviendras,le charme de la moto (à l'attaque?)
Sur ma présentation tu y liras,également,que j'ai un scooter par choix,pour essayer. j'ai choisi le TMax car c'est le seul à être capable d'étancher ma soif de petites routes viroleuses.
Et une bonne fois pour toute,laissez tomber le MP3 LT,c'est l'équivalent d'une voiture. A ce moment là,prenez le MP3 RL
Dernière modification par Taz le dim. juin 05, 2011 18:33, modifié 1 fois.
- ChristianBN
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- Moto : GUZZI what else ?!?
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Pour un test scientifique,je suis à votre disposition...
DE TOUTE FAÇON,AU PROCHAIN FREINAGE,JE VOUS POURRIS TOUS...!!!
AVEC VOS CHAUFFES EAU 1,2,3 OU 4 CYLINDRES JAPONNAIS OU (surtout) EUROPÉEN QUI SE TRAINE LAMENTABLEMENT DANS LES VIRAGES !!!
... Bon week-end...
DE TOUTE FAÇON,AU PROCHAIN FREINAGE,JE VOUS POURRIS TOUS...!!!
AVEC VOS CHAUFFES EAU 1,2,3 OU 4 CYLINDRES JAPONNAIS OU (surtout) EUROPÉEN QUI SE TRAINE LAMENTABLEMENT DANS LES VIRAGES !!!
... Bon week-end...
Dernière modification par Taz le dim. juin 05, 2011 18:33, modifié 1 fois.
Au risque de vous enlever une partie de vos illusions, voici un scoop :
le marché de la moto est MONDIAL !
Sans prétendre un instant connaître ou même comprendre la stratégie commerciale des principaux industriels de la moto (qui sont tous asiatiques, chinois et indiens compris), je note un seul chiffre : la Chine produit 17 millions de deux-roues annuellement ...
Pour ne perdre aucun ami à la Casim, je ne quantifierai ni ne qualifierai le nombre de BMW, Ducati et autres Triumph fabriquées ...
Que les mêmes constructeurs fassent en revanche des pays occidentaux la vitrine de leur savoir faire (les motos vendues en Chine par exemple ne sont pas de cylindrée et qualité comparables) et y réalisent leurs marges les plus confortables est une évidence.
Pour le reste, chacun choisit sa moto en fonction de ses goûts et de ses moyens, ou en tout cas de la part de ceux ci qu'il souhaite consacrer à une activité qui est pour beaucoup d'être nous un simple loisir.
Personnellement, un 4 cylindres me va très bien : silencieux, onctueux, souple, économe et pour l'instant très européen (suisse) par la régularité de son fonctionnement.
Or, dans ce registre et cette cylindrée, il n'y a pas un constructeur européen à la hauteur. Je garde un espoir du coté de BMW s'ils veulent bien dégonfler le RR pour le mettre dans un cadre de routière.
En espérant que cette modeste et tardive contribution confirmera que s'agissant de discussions sur la moto, plus on en parle et moins on avance.
Sur ce, je vais poser sur le bitume mes pneus français, équipant une moto japonaise (mais non bridée) fabriquée en Italie par des ouvriers de toutes origines.
Ciao
le marché de la moto est MONDIAL !
Sans prétendre un instant connaître ou même comprendre la stratégie commerciale des principaux industriels de la moto (qui sont tous asiatiques, chinois et indiens compris), je note un seul chiffre : la Chine produit 17 millions de deux-roues annuellement ...
Pour ne perdre aucun ami à la Casim, je ne quantifierai ni ne qualifierai le nombre de BMW, Ducati et autres Triumph fabriquées ...
Que les mêmes constructeurs fassent en revanche des pays occidentaux la vitrine de leur savoir faire (les motos vendues en Chine par exemple ne sont pas de cylindrée et qualité comparables) et y réalisent leurs marges les plus confortables est une évidence.
Pour le reste, chacun choisit sa moto en fonction de ses goûts et de ses moyens, ou en tout cas de la part de ceux ci qu'il souhaite consacrer à une activité qui est pour beaucoup d'être nous un simple loisir.
Personnellement, un 4 cylindres me va très bien : silencieux, onctueux, souple, économe et pour l'instant très européen (suisse) par la régularité de son fonctionnement.
Or, dans ce registre et cette cylindrée, il n'y a pas un constructeur européen à la hauteur. Je garde un espoir du coté de BMW s'ils veulent bien dégonfler le RR pour le mettre dans un cadre de routière.
En espérant que cette modeste et tardive contribution confirmera que s'agissant de discussions sur la moto, plus on en parle et moins on avance.
Sur ce, je vais poser sur le bitume mes pneus français, équipant une moto japonaise (mais non bridée) fabriquée en Italie par des ouvriers de toutes origines.
Ciao
- ChristianBN
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Après relecture de toutes les réponses du post, je me rend compte que sur les 34 réponses, seul 4 sont commis par bibi.

Les autres réponses (...souvent excellentes !... quelques fois moins...

La répartition se faisant sur 11 interlocuteurs (je parle chiffres car certains aiment les stats...).
Bon heuh... Il va falloir que je change mon fusil d'épaule si je veux continuer les cpm en toute quiétude !...

(non non !... je ne retournerai pas ma veste !...)
citation de philippe
C'est elle qui m'a choisit, elle m'a tapé dans l'oeil et tout de suite ça a collé !chacun choisit sa moto en fonction de ses goûts

(moto et copine = tout pareils... à quelques détails près !)

Pour les sérieux et les grincheux, le message qui vous venez de lire est à canceler dans les 10 secondes... Merci...
Quelques préalables importants, avant de me fâcher gravement avec la moitié de l’hexagone motocycliste :
• Ce post vise uniquement à réveiller un forum endormi par un sujet volontairement très polémique, fondé sur une réalité : « la part de marché des japonaises est passé en 20 ans de 90 à 60% et aucune marque de l’Archipel ne progresse. Pourquoi ? » http://www.moto-station.com/article1033 ... ances.html
• La question ne concerne pas le marché mondial, il s’intéresse au seul comportement des acheteurs français. La sensibilité des chinois sur le sujet, ce sera pour une autre fois...
• La majorité des motos vendues reste japonaise, le parc roulant aussi dans des proportions encore plus marquées.
• Chacun possède bien sur la meilleure moto au monde, parce que c’est la sienne et qu’il l’aime. Et c’est très bien ainsi. Il ne s’agit pas de descendre ici les japonaises, juste d’échanger, pour ceux que ça intéresse, sur une évolution du comportement de notre communauté.
• L’origine de nos motos est sans doute bien moins importante que le fait de rouler. De même que raconter des conneries sur le forum ne remplacera jamais le plaisir de glisser la clef de contact dans la serrure de sa bécane… ou aller rouler dans la brume entre Beslé et Sixt sur Aff (Ille et Vilaine), dans la brume de ce dernier dimanche matin.
Je recommande ici à ceux que cette question indiffère d'éviter de lire la suite, qui promet d'être assommante et inutile. Je leur souhaite donc ici une bonne nuit.
Ces précautions posées, j’ai mon avis, forcément très contestable (allez les snipers, en joue, c'est là que commencent les scènes d'action!), sur ce qui pousserait aujourd’hui plus qu’hier le motard en béret à choisir européen ou américain plutôt que japonais, à peu près 4 fois plus souvent qu’il y a 20 ans (oui, quand même…).
Comme déjà mentionné, les performances, l’élaboration du produit, la sophistication des solutions, le prix, la qualité de fabrication, le SAV, la robustesse ne sont pas pris en défaut et seraient même plutôt à l’avantage des nippons, dès lors qu’on s’en tient à une analyse objective et rationnelle.
S’agirait il dès lors d’explorer d’autres voies pour expliquer ce paradoxe…
• Le vieillissement des propriétaires de moto (hors l’argument classique de pouvoir d’achat des vieux) recentre souvent leur attente sur la recherche de sensations de conduite plus que de performances absolues. Pour faire simple, à partir d’un certain âge on se convainc facilement qu’on se sera finalement jamais pilote de GP et que les limitations de vitesse « plus un petit chouïa pour la route » suffisent amplement à combler le païlote, dès lors que ça tournicote un peu et que ça dure longtemps.
En contrepartie le ressenti mécanique tripal devient une exigence absolue.
Dans ce registre, l’onctuosité légendaire des 4 pattes peut laisser certains (…) sur leur faim quand vitesse de pointe et puissance full-power ne concernent plus que les amateurs – que je salue avec respect- de sportives débridées : une moto surpuissante bridée est bien moins agréable qu’une moto conçue dans la limite de jauge des restrictions françaises, dont le moteur est plein. Si l’architecture du 4 en ligne favorise la puissance par la faible inertie des petites pièces en mouvement, les bi et tri cylindres offrent couramment 20% de rab de couple, à cylindrée égale. Cette mesure du couple maxi –pour moi couple= bonheur de conduire-, la longueur de plage d’utilisation d’un couple élevé -notamment à bas et moyen régime, là où se passe 90% de l’histoire-, le ressenti sensuel des palpitations intimes du cœur mécanique, le son rauque et la rigueur du châssis–spécificité des motos européennes, liée à leur adaptation à des terrains de jeux locaux mouvementés- compensent la restriction de vitesse de pointe, et bien au delà.
• L’esthétique des japonaises répond imparfaitement aux repères européens… parce qu’elles sont dessinées par des japonais, dans le cadre de leurs propres repères. Les références Manga sont d’un exotisme visuel certain mais ne flattent pas forcément le sens du beau d’un œil cocardier. Il existe également une partie de la production qui semble rigoureusement insipide, sans inspiration, tant elle fleure le bureau d’étude où le décodage marketing tendanciel dicterait sa loi au sens du beau, dans lequel excellent les italiens. Les marques européennes et américaines ont leur spécificité esthétique, avec des codes, des particularités, des héritages qui excitent l’imaginaire par des références historiques. A 100m une Guz’ est évidemment une Guz’, un flat est une BM, une Speed une Triumph, une Ducat’ sans équivoque une Ducat’, une KTM une KTM, une Harley est copiée mais inimitable... Sans connaître préalablement un modèle, saurions-nous d’un coup d’œil lointain distinguer le pedigree d’une niponne ?
On aime trouver que sa moto a de la gueule, de 3 quarts arrière, quand on la regarde au soleil couchant à la terrasse d’un café bondé de jolies filles.
• L'identité mécanique: si je vous dis bicylindres à plat, ou 2 cylindres en V à 90° face à la route, ou bicylindres à 90° dans un cadre treillis, ou gros bicylindre à 45° avec beaucoup de bruit, ou 3 cylindres en ligne, « l’esprit » de la marque s’impose immédiatement, avec son wagon de typicité, de personnalité, de projection dans « un monde mécanique ».
• Les Triumph, Guzzi, Ducati, BM, et même tout récemment Norton-par l’affichage d’un simple bicylindre vertical et d’une joli carter chargé de gloire- renvoient à une histoire qui continue de se composer en modernisant de vieilles convictions avec des avancées de modernisme. Sans pourtant déraciner les références d’origine.
La démarche nipponne ne cherche pas à capitaliser sur ces origines, ces icones affectives : il n’existe pas d’héritière visuelle, même lointaine, de la Honda CB750, la Yamaha 500XT, la Kawa Mach II pour évoquer de grandes machines historiques. Seule la Goldwing véhicule son histoire à travers les décennies, améliorant une identité initiale forte, comme la GS qui vient de fêter ses 30 ans sans renier son aïeule.
Des racines et des ailes, c’est plus intéressant que le Star Académie, à long terme.
Les motos japonaises se révèlent des produits irréprochables dans leur usage, mais ne causent peut être pas autant que les occidentales à cette petite part de romantisme qui habite certains motards, celle qui fait qu’autour d’une moto, il y a un rêve, un fantasme délicieux, la relation affective proche de ce qui unit un cavalier à sa monture, ce qui amène les godons à appeler un bateau d’un pronom normalement interdit aux objets, « She ».
Un dernier petit coup d’œil humide au moment de refermer le garage en lui disant droit dans le blanc du phare: « Toi, je t’aime vraiment ! ».
Ugh, j'ai parlé.
• Ce post vise uniquement à réveiller un forum endormi par un sujet volontairement très polémique, fondé sur une réalité : « la part de marché des japonaises est passé en 20 ans de 90 à 60% et aucune marque de l’Archipel ne progresse. Pourquoi ? » http://www.moto-station.com/article1033 ... ances.html
• La question ne concerne pas le marché mondial, il s’intéresse au seul comportement des acheteurs français. La sensibilité des chinois sur le sujet, ce sera pour une autre fois...
• La majorité des motos vendues reste japonaise, le parc roulant aussi dans des proportions encore plus marquées.
• Chacun possède bien sur la meilleure moto au monde, parce que c’est la sienne et qu’il l’aime. Et c’est très bien ainsi. Il ne s’agit pas de descendre ici les japonaises, juste d’échanger, pour ceux que ça intéresse, sur une évolution du comportement de notre communauté.
• L’origine de nos motos est sans doute bien moins importante que le fait de rouler. De même que raconter des conneries sur le forum ne remplacera jamais le plaisir de glisser la clef de contact dans la serrure de sa bécane… ou aller rouler dans la brume entre Beslé et Sixt sur Aff (Ille et Vilaine), dans la brume de ce dernier dimanche matin.
Je recommande ici à ceux que cette question indiffère d'éviter de lire la suite, qui promet d'être assommante et inutile. Je leur souhaite donc ici une bonne nuit.
Ces précautions posées, j’ai mon avis, forcément très contestable (allez les snipers, en joue, c'est là que commencent les scènes d'action!), sur ce qui pousserait aujourd’hui plus qu’hier le motard en béret à choisir européen ou américain plutôt que japonais, à peu près 4 fois plus souvent qu’il y a 20 ans (oui, quand même…).
Comme déjà mentionné, les performances, l’élaboration du produit, la sophistication des solutions, le prix, la qualité de fabrication, le SAV, la robustesse ne sont pas pris en défaut et seraient même plutôt à l’avantage des nippons, dès lors qu’on s’en tient à une analyse objective et rationnelle.
S’agirait il dès lors d’explorer d’autres voies pour expliquer ce paradoxe…
• Le vieillissement des propriétaires de moto (hors l’argument classique de pouvoir d’achat des vieux) recentre souvent leur attente sur la recherche de sensations de conduite plus que de performances absolues. Pour faire simple, à partir d’un certain âge on se convainc facilement qu’on se sera finalement jamais pilote de GP et que les limitations de vitesse « plus un petit chouïa pour la route » suffisent amplement à combler le païlote, dès lors que ça tournicote un peu et que ça dure longtemps.
En contrepartie le ressenti mécanique tripal devient une exigence absolue.
Dans ce registre, l’onctuosité légendaire des 4 pattes peut laisser certains (…) sur leur faim quand vitesse de pointe et puissance full-power ne concernent plus que les amateurs – que je salue avec respect- de sportives débridées : une moto surpuissante bridée est bien moins agréable qu’une moto conçue dans la limite de jauge des restrictions françaises, dont le moteur est plein. Si l’architecture du 4 en ligne favorise la puissance par la faible inertie des petites pièces en mouvement, les bi et tri cylindres offrent couramment 20% de rab de couple, à cylindrée égale. Cette mesure du couple maxi –pour moi couple= bonheur de conduire-, la longueur de plage d’utilisation d’un couple élevé -notamment à bas et moyen régime, là où se passe 90% de l’histoire-, le ressenti sensuel des palpitations intimes du cœur mécanique, le son rauque et la rigueur du châssis–spécificité des motos européennes, liée à leur adaptation à des terrains de jeux locaux mouvementés- compensent la restriction de vitesse de pointe, et bien au delà.
• L’esthétique des japonaises répond imparfaitement aux repères européens… parce qu’elles sont dessinées par des japonais, dans le cadre de leurs propres repères. Les références Manga sont d’un exotisme visuel certain mais ne flattent pas forcément le sens du beau d’un œil cocardier. Il existe également une partie de la production qui semble rigoureusement insipide, sans inspiration, tant elle fleure le bureau d’étude où le décodage marketing tendanciel dicterait sa loi au sens du beau, dans lequel excellent les italiens. Les marques européennes et américaines ont leur spécificité esthétique, avec des codes, des particularités, des héritages qui excitent l’imaginaire par des références historiques. A 100m une Guz’ est évidemment une Guz’, un flat est une BM, une Speed une Triumph, une Ducat’ sans équivoque une Ducat’, une KTM une KTM, une Harley est copiée mais inimitable... Sans connaître préalablement un modèle, saurions-nous d’un coup d’œil lointain distinguer le pedigree d’une niponne ?
On aime trouver que sa moto a de la gueule, de 3 quarts arrière, quand on la regarde au soleil couchant à la terrasse d’un café bondé de jolies filles.
• L'identité mécanique: si je vous dis bicylindres à plat, ou 2 cylindres en V à 90° face à la route, ou bicylindres à 90° dans un cadre treillis, ou gros bicylindre à 45° avec beaucoup de bruit, ou 3 cylindres en ligne, « l’esprit » de la marque s’impose immédiatement, avec son wagon de typicité, de personnalité, de projection dans « un monde mécanique ».
• Les Triumph, Guzzi, Ducati, BM, et même tout récemment Norton-par l’affichage d’un simple bicylindre vertical et d’une joli carter chargé de gloire- renvoient à une histoire qui continue de se composer en modernisant de vieilles convictions avec des avancées de modernisme. Sans pourtant déraciner les références d’origine.
La démarche nipponne ne cherche pas à capitaliser sur ces origines, ces icones affectives : il n’existe pas d’héritière visuelle, même lointaine, de la Honda CB750, la Yamaha 500XT, la Kawa Mach II pour évoquer de grandes machines historiques. Seule la Goldwing véhicule son histoire à travers les décennies, améliorant une identité initiale forte, comme la GS qui vient de fêter ses 30 ans sans renier son aïeule.
Des racines et des ailes, c’est plus intéressant que le Star Académie, à long terme.
Les motos japonaises se révèlent des produits irréprochables dans leur usage, mais ne causent peut être pas autant que les occidentales à cette petite part de romantisme qui habite certains motards, celle qui fait qu’autour d’une moto, il y a un rêve, un fantasme délicieux, la relation affective proche de ce qui unit un cavalier à sa monture, ce qui amène les godons à appeler un bateau d’un pronom normalement interdit aux objets, « She ».
Un dernier petit coup d’œil humide au moment de refermer le garage en lui disant droit dans le blanc du phare: « Toi, je t’aime vraiment ! ».
Ugh, j'ai parlé.
Dernière modification par Easy Rider le jeu. janv. 20, 2011 18:16, modifié 2 fois.
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Le grand Manitou a parlé.
Tout est dit.
Ce post que je trouve effectivement interressant oblige un peu a chaque réponse à revenir en arrière voir ce que les uns et les autres ont raconté.
En ce qui me concerne, mise à part ma mauvaise bonne foi vis à vis des Beuhmeuh, histoire d'alimenter nos amicales querelles, je n'ai rien contre les motos Japonaises, ni les autres d'ailleurs.
Chacun trouve chaussure à son pied à un instant T, c'est tout.
Je suis arrivé par hasard chez Tromph en achetant une superbe Trident 900 des années 95, alors que je revenais à la moto après quelques années d'absence et que je recherchais plutôt un 600 ou 750 Japonais.
Depuis j'y suis resté par plaisir pour des moteurs envoutants en ce qui concerne les 3 cylindres, le bicylindre étant un peu anémique.
La même chose aurait pu m'arriver chez Ducat.
Pas sur chez BM
J'ai eu la chance de rouler sur des motos Présidentielles.
La 600 fazer dont j'ai eu le plaisir d'aller user les rondeurs des pneus dans les merveilleux virages du Pays Basque.
Moto super confortable, reprise à très bas régime, une moto sans souci pour un prix d'achat attractif qui abat des kms sans te ruiner physiquement.
Un moteur fabuleux, mais trop haut dans les tours.
En comparaison, la Street triple reprend aussi bas dans les tours mais tracte beaucoup plus fort et plus rapidement.
Un poids plume, une tenue de route ad hoc avec une gueule des plus réussie, mais un confort en retrait par rapport au Fazer.
La différence :
- Quelques Euros de plus, ça compte quand même pour les budgets serrés.
- Moins de point de vente, on y pense pas forcément mais le fait de se taper 100 bornes pour la moindre révision peut rebuter.
- Mais une sensation inégalable, et c'est là la force des non Japonais.
Pour en revenir au sujet principal, le fait que les Européens/Américains ont un peu plus de part de marché, tient peut être aussi au fait que ces constructeurs proposent un choix plus important assez différent au sein de leur gamme que dans les années 70, et surtout avec une fiabilité au standard Japonais.
Les Japonnais ce sont peut-être aussi beaucoup appuyés sur leur modèle phare : Les Sportives.
Choix porteur pour les djeuns, un peu moins pour la population moyenne des motards que nous sommes.
Après, comme je l'ai déjà dit, le souhait de ne pas vouloir rouler sur la même moto que ses petits copains y est certainement pour beaucoup.
Quoiqu'il y a aussi des japonaises qui se démarquent des "standards" de fabrication à grande échelle, mais il y en a moins c'est tout.
Enfin la recherche de moto à sensation (comme le souligne Easyrider).
J'ai été très déçu par le 800 VFR, qui est pourtant une très bonne moto, ou j'ai trouvé un manque de caractère/sensation, manque de caractère par rapport a ce que je recherchais ou j'attendais.
J'ai retrouvé ces sensations avec le Thruxton, qui n'est pourtant pas un foudre de guerre.
Alors allez comprendre
Voili voilà mon ressenti.
Tout est dit.
Ce post que je trouve effectivement interressant oblige un peu a chaque réponse à revenir en arrière voir ce que les uns et les autres ont raconté.
En ce qui me concerne, mise à part ma mauvaise bonne foi vis à vis des Beuhmeuh, histoire d'alimenter nos amicales querelles, je n'ai rien contre les motos Japonaises, ni les autres d'ailleurs.
Chacun trouve chaussure à son pied à un instant T, c'est tout.
Je suis arrivé par hasard chez Tromph en achetant une superbe Trident 900 des années 95, alors que je revenais à la moto après quelques années d'absence et que je recherchais plutôt un 600 ou 750 Japonais.
Depuis j'y suis resté par plaisir pour des moteurs envoutants en ce qui concerne les 3 cylindres, le bicylindre étant un peu anémique.
La même chose aurait pu m'arriver chez Ducat.
Pas sur chez BM


J'ai eu la chance de rouler sur des motos Présidentielles.
La 600 fazer dont j'ai eu le plaisir d'aller user les rondeurs des pneus dans les merveilleux virages du Pays Basque.
Moto super confortable, reprise à très bas régime, une moto sans souci pour un prix d'achat attractif qui abat des kms sans te ruiner physiquement.
Un moteur fabuleux, mais trop haut dans les tours.
En comparaison, la Street triple reprend aussi bas dans les tours mais tracte beaucoup plus fort et plus rapidement.
Un poids plume, une tenue de route ad hoc avec une gueule des plus réussie, mais un confort en retrait par rapport au Fazer.
La différence :
- Quelques Euros de plus, ça compte quand même pour les budgets serrés.
- Moins de point de vente, on y pense pas forcément mais le fait de se taper 100 bornes pour la moindre révision peut rebuter.
- Mais une sensation inégalable, et c'est là la force des non Japonais.
Pour en revenir au sujet principal, le fait que les Européens/Américains ont un peu plus de part de marché, tient peut être aussi au fait que ces constructeurs proposent un choix plus important assez différent au sein de leur gamme que dans les années 70, et surtout avec une fiabilité au standard Japonais.
Les Japonnais ce sont peut-être aussi beaucoup appuyés sur leur modèle phare : Les Sportives.
Choix porteur pour les djeuns, un peu moins pour la population moyenne des motards que nous sommes.
Après, comme je l'ai déjà dit, le souhait de ne pas vouloir rouler sur la même moto que ses petits copains y est certainement pour beaucoup.
Quoiqu'il y a aussi des japonaises qui se démarquent des "standards" de fabrication à grande échelle, mais il y en a moins c'est tout.
Enfin la recherche de moto à sensation (comme le souligne Easyrider).
J'ai été très déçu par le 800 VFR, qui est pourtant une très bonne moto, ou j'ai trouvé un manque de caractère/sensation, manque de caractère par rapport a ce que je recherchais ou j'attendais.
J'ai retrouvé ces sensations avec le Thruxton, qui n'est pourtant pas un foudre de guerre.
Alors allez comprendre

Voili voilà mon ressenti.
Tout homme qui agit, qui fait quelque chose, a contre lui ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui font précisément le contraire,
et surtout la grande armée des gens d'autant plus sévères qu'ils ne font rien (RV-W12)
et surtout la grande armée des gens d'autant plus sévères qu'ils ne font rien (RV-W12)
Après ces deux belles proses, tout est dit.....
C'est je suis pas forcement ok avec christophe, mais ca tout le monde le sait c'est pas un scoop!
Pour ma part, j'ai eu de la japonnaise, une yam première moto, permis frais payé, on prend en fonction du porte monnaie, puis après par hazard, je passe sur une bavaroise, l'essaie est magique et envoutant, il n'y a pas photo.
Un petit ecart non regreté et je traverse la manche, moto que j'ai bien apprécié, mais mes imperatifs routiers ne me permettent pas de la conserver, je repasse la manche jusqu'en baviere ou le bonheur perdure depuis encore 2 styles de moto.
A ce jour, je suis toujours ravi de monter sur ma moto "pour me faire chier" comme dirait tazzmax
, mais aussi pour manger de la route et avoir la banane........
C'est je suis pas forcement ok avec christophe, mais ca tout le monde le sait c'est pas un scoop!

Pour ma part, j'ai eu de la japonnaise, une yam première moto, permis frais payé, on prend en fonction du porte monnaie, puis après par hazard, je passe sur une bavaroise, l'essaie est magique et envoutant, il n'y a pas photo.
Un petit ecart non regreté et je traverse la manche, moto que j'ai bien apprécié, mais mes imperatifs routiers ne me permettent pas de la conserver, je repasse la manche jusqu'en baviere ou le bonheur perdure depuis encore 2 styles de moto.
A ce jour, je suis toujours ravi de monter sur ma moto "pour me faire chier" comme dirait tazzmax

- Luc
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Easy a tout dit :
- Estéthique
- Identité / Caractère
- Racines
Les Japonais restent sur un concept plus global, mondial, plus consensuel.
Ca marche bien, c'est fiable, ca se vend... mais c'est moins glam'.
Après de nombreuses années à se chercher, les Européennes sont revenues en force, proposant des produits répondant à l'attente du marché local.
Après 40 ans à rouler Japonais, où toutes les motos avait une identité très proche, sans se démarquer vraiment, le motard souhaite changer pour une moto. Un engin qui a du poil aux pattes.
On en reviendrait presque aux 45trs qui étaient vendus après les GP.
On reconnaissait au son (à la symphonie !) la Norton/Manx, la MV Agusta, etc de chacun des pilotes.
Si on fait un parallèle avec l'automobile, après de nombreuses années à avoir des voitures identiques, quelques soit les constructeurs, on arrive sur des concepts "niche" : Fiat 500, Mini, DS3, etc
Les coeur de ventes des constructeurs ont une identité visuelle :
On différencie directement, une Fiat d'une Ford, une Peugeot d'une Toyota.
Cette recherche d'identité est peut être plus profonde que ça et dépasse largement le milieu de la moto.
A l'heure où l'Europe s'agrandit et où les peuples ne font qu'un, l'identité régionale renait et fait ressurgir ce besoin d'afficher son appartenance à un groupe "ethnique".
Un coté neo-rétro....
Clairement, mon choix de rouler Européen est de rouler différent.
De me démarquer de la majorité Niponne.
Si ce n'avait été Triumph, cela aurait été la minorité dans la minorité : Voxan, Moto Morini, Guzz' et maintenant Norton.
Je considère même presque BM, Ducati et à présent Triumph, comme des marques "généraliste".
Et je comprends que nombre de motard roulent sur des engins hors d'âge.
A l'époque où la moto avait une âme, et non pas un n° de série long comme le bras.
- Estéthique
- Identité / Caractère
- Racines
Les Japonais restent sur un concept plus global, mondial, plus consensuel.
Ca marche bien, c'est fiable, ca se vend... mais c'est moins glam'.
Après de nombreuses années à se chercher, les Européennes sont revenues en force, proposant des produits répondant à l'attente du marché local.
Après 40 ans à rouler Japonais, où toutes les motos avait une identité très proche, sans se démarquer vraiment, le motard souhaite changer pour une moto. Un engin qui a du poil aux pattes.
On en reviendrait presque aux 45trs qui étaient vendus après les GP.
On reconnaissait au son (à la symphonie !) la Norton/Manx, la MV Agusta, etc de chacun des pilotes.
Si on fait un parallèle avec l'automobile, après de nombreuses années à avoir des voitures identiques, quelques soit les constructeurs, on arrive sur des concepts "niche" : Fiat 500, Mini, DS3, etc
Les coeur de ventes des constructeurs ont une identité visuelle :
On différencie directement, une Fiat d'une Ford, une Peugeot d'une Toyota.
Cette recherche d'identité est peut être plus profonde que ça et dépasse largement le milieu de la moto.
A l'heure où l'Europe s'agrandit et où les peuples ne font qu'un, l'identité régionale renait et fait ressurgir ce besoin d'afficher son appartenance à un groupe "ethnique".
Un coté neo-rétro....
Clairement, mon choix de rouler Européen est de rouler différent.
De me démarquer de la majorité Niponne.
Si ce n'avait été Triumph, cela aurait été la minorité dans la minorité : Voxan, Moto Morini, Guzz' et maintenant Norton.
Je considère même presque BM, Ducati et à présent Triumph, comme des marques "généraliste".
Et je comprends que nombre de motard roulent sur des engins hors d'âge.
A l'époque où la moto avait une âme, et non pas un n° de série long comme le bras.
Je rejoins franky44 et Luc,tout est dit.
Mais je reste persuadé que cette chute de part de marché des japonnais est,principalement,dû au vieillissement de la population motarde.Plus jeune,on recherche l'engin capable de pourrir le copain en pointe et/ou à l'accélération.
Plus vieux,on recherche les sensations moteur et/ou la possibilité de se balader peinard.
Les japonnais savent faire des motos sensations (ex: le MT01,mais faut le permis poids lourds!) ou des motos légères et efficaces (ex: le CBR 1000,mais faut la licence de vol supersonique!) mais difficilement les deux à la fois.
Les Anglais,Américains et Italiens savent faire des motos sensations avec ce qui faut comme puissance (pas plus de 100 ch) certainement grâce à leur architecture moteur fétiche respective.
Les Allemand surfe sur leur réputation de fiabilité et de sérieux.
Chaque personne prend la machine qui correspond le plus à l'utilisation qui va en faire.
Pour ma part,le nouveau 3 cylindre 800 de Triumph avec l'esthétique du 1050 Tiger (encore Triumph),la partie cycle et l'équipement d'un 1200 GS (tient BMW) le tout avec le côté décalé (pour faire causer...
) et la polyvalence de couteau suisse de mon tupperware, me parais pas mal...
Quelqu'un aurait - il une masse et un poste à souder???


Mais je reste persuadé que cette chute de part de marché des japonnais est,principalement,dû au vieillissement de la population motarde.Plus jeune,on recherche l'engin capable de pourrir le copain en pointe et/ou à l'accélération.
Plus vieux,on recherche les sensations moteur et/ou la possibilité de se balader peinard.
Les japonnais savent faire des motos sensations (ex: le MT01,mais faut le permis poids lourds!) ou des motos légères et efficaces (ex: le CBR 1000,mais faut la licence de vol supersonique!) mais difficilement les deux à la fois.
Les Anglais,Américains et Italiens savent faire des motos sensations avec ce qui faut comme puissance (pas plus de 100 ch) certainement grâce à leur architecture moteur fétiche respective.
Les Allemand surfe sur leur réputation de fiabilité et de sérieux.
Chaque personne prend la machine qui correspond le plus à l'utilisation qui va en faire.
Pour ma part,le nouveau 3 cylindre 800 de Triumph avec l'esthétique du 1050 Tiger (encore Triumph),la partie cycle et l'équipement d'un 1200 GS (tient BMW) le tout avec le côté décalé (pour faire causer...

Quelqu'un aurait - il une masse et un poste à souder???

Mon pauvre franky44,toi tu cumul;BMW + 4 cylindres...franky44 a écrit :A ce jour, je suis toujours ravi de monter sur ma moto "pour me faire chier" comme dirait tazzmax![]()


Dernière modification par Taz le dim. juin 05, 2011 18:31, modifié 2 fois.
- mikael
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N’en déplaise a certain, je pense qu’effectivement, la population motarde vieillie.
Par conséquent seul des motards d’un certain âge peuvent se permettre d’investir dans des machines qui coutent un bras. C’est bien connu les vieux ont pleins de sous.
Pour rouler en Jap depuis tout le temps malgré mon jeune âge, je vous l’assure il y a certaines de ces nippones qui ont encore a mes yeux une certaine âme.
J’en veut pour preuve mon seven fifty des années 90, mon actuel mémère, a savoir un 750 vfr de 94 et je ne parle pas du 800 qui a marqué la fin de ces années ou on trouvai encore que ces japonaises avaient de l’en bon point et un cœur qui vibrait.
Pour moi rouler avec mon vieux 750 me permet de rouler toute l’année à moindre cout, mais je vous l’assure quand j’aurai attend un certain âge, ou plus exactement quand mon banquier arrêtera de me faire la gueule, le V11 le mans avec ces nichons qui regarde le ciel, trônera fièrement dans mon garage.
Alors messieurs les plus jeunes au plus ancien, peu importe la marque ou la gueule de votre moto, faite vous simplement plaisir en allant bouffer du bitume.

Par conséquent seul des motards d’un certain âge peuvent se permettre d’investir dans des machines qui coutent un bras. C’est bien connu les vieux ont pleins de sous.
Pour rouler en Jap depuis tout le temps malgré mon jeune âge, je vous l’assure il y a certaines de ces nippones qui ont encore a mes yeux une certaine âme.
J’en veut pour preuve mon seven fifty des années 90, mon actuel mémère, a savoir un 750 vfr de 94 et je ne parle pas du 800 qui a marqué la fin de ces années ou on trouvai encore que ces japonaises avaient de l’en bon point et un cœur qui vibrait.
Pour moi rouler avec mon vieux 750 me permet de rouler toute l’année à moindre cout, mais je vous l’assure quand j’aurai attend un certain âge, ou plus exactement quand mon banquier arrêtera de me faire la gueule, le V11 le mans avec ces nichons qui regarde le ciel, trônera fièrement dans mon garage.
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Dans le genre poil à mazout, il y'a eu aussi BFG (je crois) qui a monté un moteur d'AX sur son cadre.Pascalus IV a écrit :Je sais bien que ca existe, un bon gros flop néerlandais avec un moteur de Smart diesel de memoire...franky44 a écrit :Pascalius, la moto diesel ou Td a deja été faite....
Mais malgres son gros couple a bas regime, ca me faisait vraiment pas envie.
Plus récemment (vu sur Motomag), un Allemand propose un Trail routier sur base turbo diesel.
Et l'armée américaine qui commande des motos qui peuvent rouler avec à peu près n'importe quoi (comme nos bon vieux Berliet qui pouvaient rouler pratiquement à l'huile de vidange...).
Et la toute première moto, une Daimler, ne roulait pas au diesel ?
Ah ben voilà ! Ca ça me va.mikael a écrit :
Alors messieurs les plus jeunes au plus ancien, peu importe la marque ou la gueule de votre moto, faite vous simplement plaisir en allant bouffer du bitume.
La VFR me tente comme prochaine moto (oui ! une japonaise !) : l'entretien et la conso reviennent pas trop cher ?