Pffff, j'roule déjà pas beaucoup en ce moment, mais là, c'est le ponpon.
Et là, crac : joint spi HS (=> l'atelier freinage du 15/02 a pô été très simple).
2 joints spi en 2 ans : ça fait beaucoup (sans doute du à mes disque un poil trop flottant qui engendrent des vibrations pas cool dans la fourche).
Enfin bref, du coup, j'pourrais sans doute pas venir : la réparation coûte un poil cher et j'ai pas un puit à roros dans mon jardin.
Du coup, ça me bloque aussi pour la manif de samedi prochain contre la procédure VE.
Peu importe le nombre de pistons, la cylindrée, la marque ou même le pays d'origine . . . la moto reste une valeur universelle.
Tout comme la mauvaise foi, d'ailleurs . . .
Luc a écrit :Pffff, j'roule déjà pas beaucoup en ce moment, mais là, c'est le ponpon.
Et là, crac : joint spi HS (=> l'atelier freinage du 15/02 a pô été très simple).
2 joints spi en 2 ans : ça fait beaucoup (sans doute du à mes disque un poil trop flottant qui engendrent des vibrations pas cool dans la fourche).
Enfin bref, du coup, j'pourrais sans doute pas venir : la réparation coûte un poil cher et j'ai pas un puit à roros dans mon jardin.
Du coup, ça me bloque aussi pour la manif de samedi prochain contre la procédure VE.
Tu es certain que ton problème vient d'une vibration ?
Tes tubes sont-ils bien droit ?
Non usés, aucun défaut de revêtement ?
Alexandre a écrit :Bon j'espère qu'on va se faire 200KM que je finisse se foutu rodage !
Ca dépend avec quel moniteur tu vas !
Certains ont l'art de faire des ronds et des ronds pour arriver après tous les autres ...
Henri....HENNNNRIIIII...tu es là ????
Il est pas encore arrivé ?
Ahhh, OK
Peu importe le nombre de pistons, la cylindrée, la marque ou même le pays d'origine . . . la moto reste une valeur universelle.
Tout comme la mauvaise foi, d'ailleurs . . .
Excellente journée pour ma part, très beau soleil avec une bonne température. Rien de mieux pour un CPM virage.
Nous avons travaillés les spots de Oudon et de Champtoceaux (côté Varrenes)
Merci pour vos conseils, j'avais pris la sale habitude de déhancher dans les virages depuis mes sorties pistes et des arsouilles avec des potes.
Du coup je me suis efforcé à bien resté assis sur ma selle, serrer les genous et juste solliciter guidon et cale pied. Au début j'étais complètement paumé au niveau du feeling et des trajectoires. Finallement tout est rentré dans l'odre, je roule à nouveau comme à mes débuts.
J'ai apprecié pour pigmenter les ateliers, la consigne de garder une vitesse raisonnable, travailler les traject et ne pas utiliser les freins. Du coup on peut se faire plaiz sans attaquer comme un malade tout en gardant une meilleure marge de sécurité.
Djemaa a écrit :Merci pour vos conseils, j'avais pris la sale habitude de déhancher dans les virages depuis mes sorties pistes et des arsouilles avec des potes.
Du coup je me suis efforcé à bien resté assis sur ma selle, serrer les genous et juste solliciter guidon et cale pied. Au début j'étais complètement paumé au niveau du feeling et des trajectoires. Finallement tout est rentré dans l'odre, je roule à nouveau comme à mes débuts.
Petit rappel : en virage sur route ouverte, il est recommandé de garder le haut du corps dans l'axe de la moto pour au moins 2 raisons :
- on augmente la visibilité, le champ de vision est important, cela permet de mieux anticiper (pensez au tracteur qui est à 2 à l'heure à la sortie du virage et que vous ne voyez pas encore !)
- on est potentiellement plus réactif en cas d'imprévu (évitement, freinage, le tracteur !)
Djemaa a écrit :Du coup on peut se faire plaiz sans attaquer comme un malade tout en gardant une meilleure marge de sécurité.
La devise de la CASIM : "Rouler en sécurité tout en se faisant plaisir"
Merci Djeema, ton témoignage prouve que c'est possible.
A bientôt sur un circuit pour le déhanché !
Jean.
Si on travaille pour gagner sa vie, pourquoi se tuer au travail ?
Le bon, la brute et le truand (Tuco) .
Germaine penche et penche encore, le goudron est lisse, le grip est bon, les pneus sont chauds, la moto est tassée sans variation parasite depuis l’entrée cette courbe plus longue qu’une journée sans moto. Ah ce joli rétrogradage jouissif (petpetpet) avec le fulgurant ¼ de relance des gaz pour fluidifier la manœuvre, je le sens cet équilibre génial qu’on avait discuté au soleil à Ste Luce avant les exercices, entre contrebraquage et appui sur le repose pied tribord ; ça passe, j’ai confiance dans la tête, j’ai le regard vissé au delà du point auquel j’aurais rabattu mon regard, je suis détendu et dynamique, un peu plus sur l’avant, je l’embrasse ce virage que j’ai entamé sans freiner , je cravache mon mustang préféré…
Ça y est, je la vois cette sortie de virage, le point de rupture de l’arabesque magique entre ciel et bitume, l’endroit où c’est la tête qui metta l’étincelle « le point de sollicitation »… mais, mais, mais et merde : encore euphorique sur ce coup là, je sais bien que ma sortie ne me permettra pas d’aller le chercher tout de suite l’extérieur de ce putain de nouveau virage à gauche bien trop proche, bien trop serré : je rentre en milieu de voie, à 2 bons mètres trop à gauche du point idéal de mise sur l’angle contraire. Je rends des gaz –on freine pas, on a sa fierté, il y du monde quand même !- , j’ai merdé, c’est pas bon, j’aurais du déclencher plus vite c’est sur, plus fort –mais c’est difficile d’y croire…-, maîtriser mieux. Ça m’énerve, l’état de grâce est rompu…
Prendre l’air détaché du gars qui s’est soudain découvert une âme bucolique dans une montée qu’il avait abordée comme un pilote ? Bof. Je sais, je le sens dans le dos, même à travers le cuir chauffé par un incroyable soleil, le regard attentif du gazier en Fazer bleue qui suit si attentivement mes évolutions et note avec une précision redoutable tout ce qui ne va pas. C’est si simple quand il ouvre le Jean…
«le gazier en Fazer bleue » enlève son casque, prend les 2 secondes de réflexion pour éviter le propos brutal et commence avec bonté : « bon, Philippe, … » (la suite m’est personnelle, mais y a du lourd). Tout vu, tout compris, tout expliqué et donné les pistes pour après. J’ai pigé…
La journée s’est achevée par cette sentence : « Ayez confiance dans vos pneus ! ».
J’ai passé une après-midi géniale avec mes copains : je me demande si je n’aime pas encore plus la moto…
je n'ai pas l'art et la manière d'Easy rider pour écrire mais le soleil et les bons conseils d'un charmant mono (qui a dit lèche-cul???) j'ai encore appris des choses
pour ma 2ème séries de virages ( depuis que je suis à la casim), j'étais presque détendue et j'ai surtout pu mettre en application lors d'une sortie le lendemain dans le golf du Morbihan ou j'ai ébloui les copains ( j'ai le drit de rêver) par mon aisance sur la route.
Bon j'ai quelques courbatures ce matin mais j'y ai pris du plaisir sans me faire peur
merci les monos