Compte-rendu de Fay de Bretagne - 22/03/2008
Modérateurs : giffle, didManiac!, Guillaume, ThierryC44, corenting
Compte-rendu de Fay de Bretagne - 22/03/2008
RDV 8h30 devant les grilles du circuit de Fay de Bretagne pour une journée CPM circuit.
Tout le monde est impatient de découvrir ou redécouvrir ce circuit puisqu'à 8h30 une grande majorité des casimirs est déjà là.
Après un contrôle administratif, l'entrée se fait tranquillement dans l'enceinte du circuit. En parallèle chacun (des chanceux qui peuvent rouler) prépare sa moto : scotch sur les optiques, démontage des rétroviseurs pour ceux qui roulent avec leur motos de tous les jours et descente de remorque pour les plus équipés.
Sur les coups de 9h00, contrôle technique total excepté le sonomètre.
En effet, les moteurs doivent être coupés avant 9h30 et entre 12h00 et 14h00 par respect pour le voisinage.
9h30, démarrage des moteurs, contrôle au sonomètre, et c'est parti pour une journée de roulage (ou de caillage pour les commissaires qui auront bien mérité d'être prioritaire pour le mois d'aout).
Après un briefing, la matinée se poursuit par la découverte du circuit, les casimirs étant répartis, comme à l'accoutumée, en 3 groupes. Au programme, démonstration des trajectoires par un moniteur, matérialisées par des plots. Ensuite le moniteur passe derrière chaque casimir et donne des conseils s'il y a lieu.
La matinée se déroule sous un ciel menaçant avec une petite averse mais la piste reste sèche.
12h00, pause repas dans la salle (ca fait du bien d'être un peu au chaud). Pendant ce temps là, la grêle tombe.
Vers 13h15, présentation et explications sur le fonctionnement et le réglage des suspensions par Régis (préparateur suspension "Shaft Racing"), un grand merci à lui.
14h00, vient le moment d'y retourner.
Les commissaires se remettent en place sous un temps toujours menaçant et froid. Le vent ne suffit pas à séché la piste.
C'est parti pour 3 séries sur le mouillé.
Et là, c'est chacun son rythme. Pour ma part, qui ne suis vraiment pas à l'aise sous la pluie, c'était pas très soutenu mais j'ai quand même eu la chance de pouvoir rouler. J'en ai profité pour travailler mon regard et pour mettre en pratique les conseils des différents moniteurs.
17h30, fin du roulage. Tout le monde est bien fatigué mais content.
18h00, les échanges vont bon train sur cette journée de circuit sur le mouillé (glisse de l'avant, de l'arrière...) pendant le pot organisé par l'équipe de la Casim 44 (décidément ils nous gâtent jusqu'au bout).
Un grand MERCI à toute l'équipe pour cette belle journée !
PS : n'étant pas un grand narrateur, n'hésitez pas à corriger ou compléter !
Tout le monde est impatient de découvrir ou redécouvrir ce circuit puisqu'à 8h30 une grande majorité des casimirs est déjà là.
Après un contrôle administratif, l'entrée se fait tranquillement dans l'enceinte du circuit. En parallèle chacun (des chanceux qui peuvent rouler) prépare sa moto : scotch sur les optiques, démontage des rétroviseurs pour ceux qui roulent avec leur motos de tous les jours et descente de remorque pour les plus équipés.
Sur les coups de 9h00, contrôle technique total excepté le sonomètre.
En effet, les moteurs doivent être coupés avant 9h30 et entre 12h00 et 14h00 par respect pour le voisinage.
9h30, démarrage des moteurs, contrôle au sonomètre, et c'est parti pour une journée de roulage (ou de caillage pour les commissaires qui auront bien mérité d'être prioritaire pour le mois d'aout).
Après un briefing, la matinée se poursuit par la découverte du circuit, les casimirs étant répartis, comme à l'accoutumée, en 3 groupes. Au programme, démonstration des trajectoires par un moniteur, matérialisées par des plots. Ensuite le moniteur passe derrière chaque casimir et donne des conseils s'il y a lieu.
La matinée se déroule sous un ciel menaçant avec une petite averse mais la piste reste sèche.
12h00, pause repas dans la salle (ca fait du bien d'être un peu au chaud). Pendant ce temps là, la grêle tombe.
Vers 13h15, présentation et explications sur le fonctionnement et le réglage des suspensions par Régis (préparateur suspension "Shaft Racing"), un grand merci à lui.
14h00, vient le moment d'y retourner.
Les commissaires se remettent en place sous un temps toujours menaçant et froid. Le vent ne suffit pas à séché la piste.
C'est parti pour 3 séries sur le mouillé.
Et là, c'est chacun son rythme. Pour ma part, qui ne suis vraiment pas à l'aise sous la pluie, c'était pas très soutenu mais j'ai quand même eu la chance de pouvoir rouler. J'en ai profité pour travailler mon regard et pour mettre en pratique les conseils des différents moniteurs.
17h30, fin du roulage. Tout le monde est bien fatigué mais content.
18h00, les échanges vont bon train sur cette journée de circuit sur le mouillé (glisse de l'avant, de l'arrière...) pendant le pot organisé par l'équipe de la Casim 44 (décidément ils nous gâtent jusqu'au bout).
Un grand MERCI à toute l'équipe pour cette belle journée !
PS : n'étant pas un grand narrateur, n'hésitez pas à corriger ou compléter !
- Luc
- Moniteur
- Messages : 3782
- Inscription : mar. mai 15, 2007 15:56
- Moto : Triumph 750, 900, 1000 et 1200
- Casim : 44
- Prénom : Skywalker
- Localisation : La Chapelle sur Erdre (44)
- Contact :
samedi : Commissaire sous la pluie, la grêle et le vent.
Dimanche : 39° de fièvre, au lit
Lundi : presque plus de fièvre, mais au chaud quand même.
Mardi : un gros pull au bureau.
Ouinnnn, c'est samedi que j'aurai dû le prendre, mon pull !!!
Malgré son rube, le gars Luc a passé une très bonne journée de samedi.
Dimanche : 39° de fièvre, au lit
Lundi : presque plus de fièvre, mais au chaud quand même.
Mardi : un gros pull au bureau.
Ouinnnn, c'est samedi que j'aurai dû le prendre, mon pull !!!
Malgré son rube, le gars Luc a passé une très bonne journée de samedi.
- ZR7zen
- Moniteur
- Messages : 308
- Inscription : lun. oct. 02, 2006 21:01
- Moto : Royal Enfield Meteor 350
- Casim : 44
- Prénom : Henri
- Localisation : Nantes - Rond Point de Paris
Salut à tous,
Ouais... super journée
malgré le temps pourri
Bon les photos de Marie vont arriver, je suis en train de les trier et de les mettre au format 800*600
Pour la fin de semaine çà devrait être bon... Il y en a quand même + de 100 de valables.
@ Dimanche
Henri
Ouais... super journée



Pour la fin de semaine çà devrait être bon... Il y en a quand même + de 100 de valables.
@ Dimanche
Henri
On croit souvent qu'un appartement est bas de plafond, alors qu'il est tout simplement haut de plancher.
Pierre Dac
Pierre Dac
- Jean
- Moniteur
- Messages : 1415
- Inscription : lun. oct. 02, 2006 21:44
- Moto : Tracer9 GT
- Casim : 44
- Localisation : C44 - Ste Luce/Loire
Raaaahhhhhhhhh !!!!
Enfin ! Une HD à l'attaque ! Quelle image merveilleuse !

Bravo Philippe, aller à Fay avec cette machine, il faut avoir envie de progresser, tu en es la preuve !
Je suis certain que tu y as pris du plaisir, même si cette machine n'est vraiment pas faite pour ça.
fzs1k
Enfin ! Une HD à l'attaque ! Quelle image merveilleuse !
Bravo Philippe, aller à Fay avec cette machine, il faut avoir envie de progresser, tu en es la preuve !
Je suis certain que tu y as pris du plaisir, même si cette machine n'est vraiment pas faite pour ça.
fzs1k
Si on travaille pour gagner sa vie, pourquoi se tuer au travail ?
Le bon, la brute et le truand (Tuco)
.
Le bon, la brute et le truand (Tuco)

Encore 10cm et les cale-pieds... heu non, les pots d'échappement frottaient....
Oui, nous sommes là en phase de préparation de la trajectoire, juste avant l'impulsion de contrebraquage qui permet de poser d'abord les pots, puis les repose-pieds, ensuite le bout du guidon et enfin l'intérieur du casque -qui sert en l'occurence de témoin d'angle, les sliders latéraux du "Nolan spécial Easy Rider"sont d'ailleurs entamés jusqu'à la trame blanche sur le document -ce devait être la fin de mon 1° tour-, et alors tu remets les gaz très vigoureusement pour solliciter et redresser la machine et t'inscrire ainsi gracieusement dans la seconde partie du pifpaf.
L'ennui avec des machines très rapides et maniables comme la mienne, c'est que les appareils photographiques n'ont pas d'ouvertures inférieure au 1/10 000°, ce qui ne permet pas de capter en image toute la fluidité bestiale du mouvement.
Je profite de la tribune que m'offrent mes (ex ) camarades envieux et moqueurs pour remercier Marie: grace à elle, j'ai enfin une belle photo de mon engin en mouvement, en équilibre "grâce à la force stroboscopique acquise au delà de 30 km/h": ça me change des 1 425 poses d'Harlette à l'arrêt, entourée de trognes réjouies et patibulaires. Merci Marie pour ce beau cadeau (Henri, tu peux transmettre?).
Luc, mon (gros) colon, je vais te laisser méditer cette pensée puissante: vu la météo rencontrée à Fay, quand tu as un destin grêle, faut des tripes... (à relire plusieurs fois, sans tasse de café brulant dans la main).
Pistard, couche tôt!
Oui, nous sommes là en phase de préparation de la trajectoire, juste avant l'impulsion de contrebraquage qui permet de poser d'abord les pots, puis les repose-pieds, ensuite le bout du guidon et enfin l'intérieur du casque -qui sert en l'occurence de témoin d'angle, les sliders latéraux du "Nolan spécial Easy Rider"sont d'ailleurs entamés jusqu'à la trame blanche sur le document -ce devait être la fin de mon 1° tour-, et alors tu remets les gaz très vigoureusement pour solliciter et redresser la machine et t'inscrire ainsi gracieusement dans la seconde partie du pifpaf.
L'ennui avec des machines très rapides et maniables comme la mienne, c'est que les appareils photographiques n'ont pas d'ouvertures inférieure au 1/10 000°, ce qui ne permet pas de capter en image toute la fluidité bestiale du mouvement.
Je profite de la tribune que m'offrent mes (ex ) camarades envieux et moqueurs pour remercier Marie: grace à elle, j'ai enfin une belle photo de mon engin en mouvement, en équilibre "grâce à la force stroboscopique acquise au delà de 30 km/h": ça me change des 1 425 poses d'Harlette à l'arrêt, entourée de trognes réjouies et patibulaires. Merci Marie pour ce beau cadeau (Henri, tu peux transmettre?).
Luc, mon (gros) colon, je vais te laisser méditer cette pensée puissante: vu la météo rencontrée à Fay, quand tu as un destin grêle, faut des tripes... (à relire plusieurs fois, sans tasse de café brulant dans la main).
Pistard, couche tôt!