Les progrès à la CASIM.
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- Luc
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Easy Rider
Les progrès à la CASIM, c’est aussi apprendre la transmission active de bonnes pratiques pour développer la maîtrise de nos envoutants et dangereux engins. Et c’est ainsi qu’on se retrouve à prêcher devant de jeunes cascadeurs certains samedis après-midi, un champ de quilles acérées dans le dos…
A ce propos, la BBC vient de tourner un reportage très sympa sur la pédagogie spécifique de la CASIM 44. J’ai eu la chance d’être retenu, vraiment par hasard * , pour y présenter ce souci constant de sécurité –équipement du motard, prévention pointilleuse des risques - par des exercices bien adaptés au niveau de chacun - mises en situation progressives- et une exemplarité absolue dans l’attitude des moniteurs, tant au guidon qu’au cours de limpides explications en dehors des exercices.
J’y suis associé pour l’occasion à une jeune et timide nantaise, Marianne Bonnefoi (clic). Lors du debriefing de fin, j’exprime avec un louable engagement personnel la chaleureuse dimension amicale de la CASIM, toute de complicité retenue et d’élégante modestie. Nous agissons d’ailleurs toujours ainsi avec les nouvelles stagiaires, à la 44 : 1° CPM de Marianne (clic).
* : J’ai gardé ici mes lunettes de soleil, pour préserver mon anonymat et ne pas risquer d’être confondu avec un petit vendeur d’eau de toilette à bon marché. Mais, pourtant, tout est bien dans le regard…[/
Les plus assidus auront bien sur reconnu quelques récentes sessions d’initiation au circuit, à Fay de Bretagne, ou au tout terrain, à la Maison Familiale de Plessé.
Et la méthode paie… tant Marianne fut heureuse en fin d’initiation (la BBC a malheureusement coupé la 2° partie)!
Ce sens aigu des responsabilités trouve sa pleine récompense lorsqu’on observe - au bout de quoi, allez 2 CPM (peut-être 3, à tout casser?) en particulier-, ce que les stagiaires filles dont je me suis particulièrement occupé depuis la rentrée réalisent, sous les yeux attendris des fringants moniteurs de la CASIM44 assis en tribune –ce jour là, j’étais pour ma part absent, travaillant avec Marianne sur un parcours rapide-: parcours de mania des filles 1° année (clic).
Tout cela ramene à l’excellent livre d'André Pieyre de MANDIARGUES « La Motocyclette », qu’évoquait l’ami Guillaume dans un récent post un peu fréquenté. Pendant 100 pages, on n'y raconte rien d’autre que les sensations de volupté éprouvées par l’héroïne sur sa moto, à l’aube. Il n’en fallait pas beaucoup plus pour que mon esprit ne batte la campagne…
Euh, désolé… Je vais rouler un peu, ça va peut-être me remettre le casque à l'endroit?
A ce propos, la BBC vient de tourner un reportage très sympa sur la pédagogie spécifique de la CASIM 44. J’ai eu la chance d’être retenu, vraiment par hasard * , pour y présenter ce souci constant de sécurité –équipement du motard, prévention pointilleuse des risques - par des exercices bien adaptés au niveau de chacun - mises en situation progressives- et une exemplarité absolue dans l’attitude des moniteurs, tant au guidon qu’au cours de limpides explications en dehors des exercices.
J’y suis associé pour l’occasion à une jeune et timide nantaise, Marianne Bonnefoi (clic). Lors du debriefing de fin, j’exprime avec un louable engagement personnel la chaleureuse dimension amicale de la CASIM, toute de complicité retenue et d’élégante modestie. Nous agissons d’ailleurs toujours ainsi avec les nouvelles stagiaires, à la 44 : 1° CPM de Marianne (clic).
* : J’ai gardé ici mes lunettes de soleil, pour préserver mon anonymat et ne pas risquer d’être confondu avec un petit vendeur d’eau de toilette à bon marché. Mais, pourtant, tout est bien dans le regard…[/
Les plus assidus auront bien sur reconnu quelques récentes sessions d’initiation au circuit, à Fay de Bretagne, ou au tout terrain, à la Maison Familiale de Plessé.
Et la méthode paie… tant Marianne fut heureuse en fin d’initiation (la BBC a malheureusement coupé la 2° partie)!
Ce sens aigu des responsabilités trouve sa pleine récompense lorsqu’on observe - au bout de quoi, allez 2 CPM (peut-être 3, à tout casser?) en particulier-, ce que les stagiaires filles dont je me suis particulièrement occupé depuis la rentrée réalisent, sous les yeux attendris des fringants moniteurs de la CASIM44 assis en tribune –ce jour là, j’étais pour ma part absent, travaillant avec Marianne sur un parcours rapide-: parcours de mania des filles 1° année (clic).
Tout cela ramene à l’excellent livre d'André Pieyre de MANDIARGUES « La Motocyclette », qu’évoquait l’ami Guillaume dans un récent post un peu fréquenté. Pendant 100 pages, on n'y raconte rien d’autre que les sensations de volupté éprouvées par l’héroïne sur sa moto, à l’aube. Il n’en fallait pas beaucoup plus pour que mon esprit ne batte la campagne…
Euh, désolé… Je vais rouler un peu, ça va peut-être me remettre le casque à l'endroit?

