Un grand BRAVO aux courageux casimirs qui sont venus se mouiller en notre compagnie , merci d'avoir eu le cran de faire les ateliers dans des conditions pas évidentes.Les progrès ont été à la hauteur de votre investissement. Cette piste de Labarde est vraiment un outil génial pour travailler le freinage dégressif .
Pour être sincère et honnête, après avoir gagné un combat acharné avec ma veste de pluie+mon pantalon de pluie+mes sur-bottes (et croyez moi que le plus petit élément est le plus pénible!!!

mais il n'y a que moi qui ais le droit de prononcer cette phrase!), je dois admettre que ma tête dans mon casque quand j'étais sur l'autoroute sous ce fichu crachin était digne de Garfield quand on le jette dehors par un temps aussi détestable

"Mais pourquoi suis-je punie???" Seul avantage: il ne fait pas froid du tout

!
Arrivée sur place, effectivement l’idée d'aller tester mon freinage sur cette route détrempée m'angoisse un peu
Si on croit que le motard est forcement un casse-cou, pour ma part, il n'en ait rien, j’exècre l'idée de me foutre par-terre et c'est d'ailleurs bien pour ça que je suis assidue à la CASIM, j'espère bien acquérir les bons réflexes pour m'éviter de me faire mal. Si le perfectionnement moto ne peut rien me garantir dans l'absolue, rester sur une conduite approximative me promet plus surement sans doute quelque désastre, non?

Et puis je me dis que si j'arrive à maitriser mon freinage sur la route mouillée, sur du sec ce sera encore plus facile!
Voici donc le fond de ma pensée en ce dimanche matin, mon moteur, la base de ma volonté, ce qui m'empêche de reculer... mais ça ne tient qu'à moi.
La bonne, excellente, nouvelle c'est que j'ai pu tester mon freinage SANS TOMBER, malgré une route détrempée, grâce aux explications de nos Formateurs. Et quel confort incomparable que de pouvoir le faire sur ce grand ruban de bitume hors circulation et donc en toute sécurité et avec toute la place nécessaire. Le freinage à Labarde c'est comme le virage à SaintOnge!
Pour ce qui est de l'humidité, hors mis sous mes roues, grâce à mon combat matinale victorieux, point de flaque pour ma part.
Par contre pour ce qui est du courage, mes amis, je vous le dis, chapeau bas (ou du moins casque bas) à tous nos Formateurs qui ont, plus que jamais "mouillé leur chemise" pour nous (et le reste...), car eux n'avaient pas de scaphandre pour se protéger et pourtant ils étaient nombreux à se déplacer pour partager avec nous leur savoir, nul doute que le concept de PARTAGE et de SOLIDARITÉ n'est pas un vain mot pour eux (et elles!).
Bravo aussi à Loïc et François de nous avoir fait l'Amitié de se mouiller pour venir nous voir sans pourtant la récompense du CPM lui-même!
Pour les détails de ce CPM et bien je rejoins Florence, il fallait y être pour comprendre.

Nananèreuuuuu!
Je ne savais pas qu'il y avait eu une deuxième chute

: en partant alors? J'espère que ce n'est rien de grave???
Biz à tous et à très bientôt.