Prez FredMau (Casim33)
Publié : mar. sept. 22, 2015 14:17
Comment je suis arrivée là ?!
Je n’ai jamais été attirée par la moto ! Un jour j’ai quand même fait une petite balade avec des amis, me voici donc passagère (sur une 750), 1ère expérience tentée plutôt à reculons, et puis…. le coup de foudre ! Dans la foulée j’ai récupéré le vieille 125 Twin de 1978 qui traînait chez mon père et suis partie avec dans le Béarn puis l’ai prise tous les jours sans aucune formation ni culture 2 roues… totalement inconsciente !!! Au bout de quelques mois je me suis dit que je devrais quand même apprendre à conduire (hum) et me tenir prête au cas où ma 125 me lâcherait (elle avait quelques faiblesses dues à son grand âge), voyant bien que le manque de puissance pouvait jouer contre la sécurité. Donc je m’inscris au permis sans intention de changer de cylindrée tant que ma brave petite moto me porte. Sauf qu’après le 1er cours sur route j’ai totalement changé d’avis : trop bon comme sensation… résultat mon Fazer 600 était dans mon garage 2 semaines avant le fameux papier rose (sept 2009) !! Et je faisais 12.000 km la 1ère année...
Pourquoi un Fazer 600 ? N’y connaissant rien en moto j’ai demandé conseil à mon moniteur qui, en fonction de ma façon de conduire et de ce que je voulais en faire m’en a conseillé 3/4, après c’est le budget et les annonces qui ont fait le reste.
C’est donc l’histoire d’une passion qui s’est emparée de moi presque par surprise ! Et qui ensuite m’a apporté beaucoup de bonheur, celui de la conduite au quotidien et en balades, seule ou en groupe, de grands moments de partage et même la découverte de ma région !!
Mais un problème médical (à la jambe) a tout stoppé net au bout de 2 ans de permis : 2 ans ½ à conduire mes béquilles (plutôt parcours lent !), et plus de 3 ans avant de reprendre la conduite voiture puis moto. J’ai retrouvé mon Fazer adoré cet été avec émotion, mais la conscience aiguë que je n’avais plus du tout le même niveau qui était déjà largement perfectible. Et donc un grand besoin de remise à niveau puis perfectionnement. Entre temps mon super pote et parrain-moto Domi a connu la Casim et m’en a beaucoup et régulièrement parlé. Génial ! Pour moi reprise de la moto rimait alors forcément avec inscription à la Casim.
C’est fait et j’en suis très contente…
Je n’ai jamais été attirée par la moto ! Un jour j’ai quand même fait une petite balade avec des amis, me voici donc passagère (sur une 750), 1ère expérience tentée plutôt à reculons, et puis…. le coup de foudre ! Dans la foulée j’ai récupéré le vieille 125 Twin de 1978 qui traînait chez mon père et suis partie avec dans le Béarn puis l’ai prise tous les jours sans aucune formation ni culture 2 roues… totalement inconsciente !!! Au bout de quelques mois je me suis dit que je devrais quand même apprendre à conduire (hum) et me tenir prête au cas où ma 125 me lâcherait (elle avait quelques faiblesses dues à son grand âge), voyant bien que le manque de puissance pouvait jouer contre la sécurité. Donc je m’inscris au permis sans intention de changer de cylindrée tant que ma brave petite moto me porte. Sauf qu’après le 1er cours sur route j’ai totalement changé d’avis : trop bon comme sensation… résultat mon Fazer 600 était dans mon garage 2 semaines avant le fameux papier rose (sept 2009) !! Et je faisais 12.000 km la 1ère année...
Pourquoi un Fazer 600 ? N’y connaissant rien en moto j’ai demandé conseil à mon moniteur qui, en fonction de ma façon de conduire et de ce que je voulais en faire m’en a conseillé 3/4, après c’est le budget et les annonces qui ont fait le reste.
C’est donc l’histoire d’une passion qui s’est emparée de moi presque par surprise ! Et qui ensuite m’a apporté beaucoup de bonheur, celui de la conduite au quotidien et en balades, seule ou en groupe, de grands moments de partage et même la découverte de ma région !!
Mais un problème médical (à la jambe) a tout stoppé net au bout de 2 ans de permis : 2 ans ½ à conduire mes béquilles (plutôt parcours lent !), et plus de 3 ans avant de reprendre la conduite voiture puis moto. J’ai retrouvé mon Fazer adoré cet été avec émotion, mais la conscience aiguë que je n’avais plus du tout le même niveau qui était déjà largement perfectible. Et donc un grand besoin de remise à niveau puis perfectionnement. Entre temps mon super pote et parrain-moto Domi a connu la Casim et m’en a beaucoup et régulièrement parlé. Génial ! Pour moi reprise de la moto rimait alors forcément avec inscription à la Casim.
C’est fait et j’en suis très contente…
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