Exercice pas facile... Moi et mes deux "titines"
Publié : mar. nov. 24, 2009 18:49
Effectivement l'exercice n'est pas facile, mais je vais essayer
Je m'appelle Philippe, j'ai 43 ans et je suis divorcé, important ce terme car il a été synonyme pour moi de liberté et donc pourvoir retrouver le monde motard.
Permis moto passé en 1990, je n'avais à cette époque là qu'un seul véhicule : une Honda 500 CX avec laquelle je faisais environ 20 000 km par an. Assez rapidement, je me suis inscrit à la Casim Vendée du temps ou son président était Jean-Marc Lucy. Après avoir passé le "moto de bronze", je m'étais réinscrit pour passer le "moto d'argent", mais je n'ai pas pu continuer pour les raisons suivantes.
L'achat d'une maison, la naissance d'enfants, la prise de risques en pilotant une moto, et surtout la mort de 3 personnes que je connaissais en l'espace de 2 mois, m'ont fait vendre ma 500, le coeur dans l'âme. L'une de ces 3 personnes était d'ailleurs moniteur à la Casim (
)
Il faut savoir que la manière de conduire surtout des automobilistes, dans les années 90, n'est pas vraiment la même qu'aujourd'hui.
Il y a 5 mois, je voulais réaliser mon rêve d'acheter une bécane d'exception, mais conscient que je n'avais pas conduit une moto depuis 15 ans, j'ai acheté (et j'ai toujours) la moto qui avait marqué ma jeunesse puisque j'avais passé le permis sur ce type de bécanne : une Yamaha 500 XV type SE. Cela m'a permis de me refaire la main, sur un parking, et je peux vous jurer que les sensations n'étaient pas là au départ.
Et puis je suis tombé sur une petite annonce sur internet, et je l'ai vu "LA BETE" tant rêvée. Je suis donc propriétaire d'une Goldwing 1800, série spéciale, importée des USA et d'une couleur jaune d'origine.
Mes difficultés pour piloter cet engin de 400 kg, et en parallèle la manière de conduire de certains (automobilistes, motards, mais surtout scooters) sont les raisons pour lesquelles je me suis réinscrit à la Casim. Mais cette inscription ne s'est pas passée comme je le souhaitais (voir d'autres posts).
Enfin bref, aujourd'hui je pense au moins devenir "référent" prévention routière, car dans le cadre de mon travail, la préfecture demandant qu'il y en ait un.
Désolé de cette longue prose, mais je voulais être assez complet.
Philippe
P.S. : j'essayerai de vous poster les photos de mes deux "monstres"

Je m'appelle Philippe, j'ai 43 ans et je suis divorcé, important ce terme car il a été synonyme pour moi de liberté et donc pourvoir retrouver le monde motard.
Permis moto passé en 1990, je n'avais à cette époque là qu'un seul véhicule : une Honda 500 CX avec laquelle je faisais environ 20 000 km par an. Assez rapidement, je me suis inscrit à la Casim Vendée du temps ou son président était Jean-Marc Lucy. Après avoir passé le "moto de bronze", je m'étais réinscrit pour passer le "moto d'argent", mais je n'ai pas pu continuer pour les raisons suivantes.
L'achat d'une maison, la naissance d'enfants, la prise de risques en pilotant une moto, et surtout la mort de 3 personnes que je connaissais en l'espace de 2 mois, m'ont fait vendre ma 500, le coeur dans l'âme. L'une de ces 3 personnes était d'ailleurs moniteur à la Casim (

Il faut savoir que la manière de conduire surtout des automobilistes, dans les années 90, n'est pas vraiment la même qu'aujourd'hui.
Il y a 5 mois, je voulais réaliser mon rêve d'acheter une bécane d'exception, mais conscient que je n'avais pas conduit une moto depuis 15 ans, j'ai acheté (et j'ai toujours) la moto qui avait marqué ma jeunesse puisque j'avais passé le permis sur ce type de bécanne : une Yamaha 500 XV type SE. Cela m'a permis de me refaire la main, sur un parking, et je peux vous jurer que les sensations n'étaient pas là au départ.
Et puis je suis tombé sur une petite annonce sur internet, et je l'ai vu "LA BETE" tant rêvée. Je suis donc propriétaire d'une Goldwing 1800, série spéciale, importée des USA et d'une couleur jaune d'origine.
Mes difficultés pour piloter cet engin de 400 kg, et en parallèle la manière de conduire de certains (automobilistes, motards, mais surtout scooters) sont les raisons pour lesquelles je me suis réinscrit à la Casim. Mais cette inscription ne s'est pas passée comme je le souhaitais (voir d'autres posts).
Enfin bref, aujourd'hui je pense au moins devenir "référent" prévention routière, car dans le cadre de mon travail, la préfecture demandant qu'il y en ait un.
Désolé de cette longue prose, mais je voulais être assez complet.
Philippe
P.S. : j'essayerai de vous poster les photos de mes deux "monstres"