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Bonjour à tous,

Suite à l'annulation de son rallye sécurité routière 2RM en mai, la compagnie de gendarmerie de l'Essonne organise celui ci le Samedi 24 septembre 2016.
L'adjudant Duclos nous a contacté pour nous demander si nous pouvions participer à cette journée pour aider à encadrer les convois de motards entre les différents sites.

Pour participer à cette opération il faudra vous présenter à 8h le samedi 24/09/2016 au Gymnase David Douillet, 2, avenue du Coudray, 91830 Le Coudray-Montceaux

Afin de prévenir la compagnie de gendarmerie du nombre de casimir, je vous remercie de compléter ce doodle : http://doodle.com/poll/istc7w6t6zt52352

Vous trouverez plus d'information sur cette journée ici : http://rallyemoto91.blogspot.fr/

Merci à tous.


PS : Pour rappel, le message envoyé en mai décrivant la journée :

"Le principe est simple : Ils ont besoin de monde pour jouer le rôle de "serre fils" lors des déplacements des groupes de 50 motards entre les ateliers prévus sur cette journée (autour de Villabé (plus de détail ci dessous). Sur les déplacement les Casimirs portent un gilet jaune et sont répartis dans le convoi pour faire en sorte que tout le monde arrive à bon port.

ci dessous un résumé de l'opération :
Quoi ?
La Gendamerie de l’Essonne organise un "rallye" sécurité routière à destination des conducteurs de 2RM. En 2015 ils ont accueillis 500 motos pour 700 personnes.
Le principe est d'organiser des ateliers autours de la sécurité routière sur différents sites dans le 77 :

• Site de passage des permis à Villabé
  Magasin Dainese
  Caserne des pompiers
  Gymnase du Coudray-Montceaux
  5ème lieu à déterminer

Où ?
autour de Villabé

Pourquoi ?
Pour les déplacements entre les différents site ils comptent organiser 5 convois de 50 motos encadrés par des gendarmes. Cependant ils ne sont que 30 motards et cherchent donc de l'aide.

Qui ?
Des motards expérimentés qui peuvent encadrer les autres sans faire n'importe quoi.

Combien ?
La demande est d'avoir 4 à 5 casimirs par convoi soit de 20 à 25 personnes.

Comment ?
Les participants seront équipés d'un gilet pour être reconnaissables et seront répartis dans le convoi pour mener tout le monde à bon port.

Inscrit! (j'ai loupé la Parisienne, faut que je me rattrape... )

Moi je suis inscrite en tant que participante au rallye moto de l'Essonne.
Je ne pense pas être une motarde expérimentée... mais le job à pas l'air trop compliqué...

Je veux bien aider à encadrer.

Ce sera sans moi car théoriquement je devrais ouvrir mon magasin

Ok pour moi !

N'ayant toujours pas de moto...

Amy Kawette a écrit :Moi je suis inscrite en tant que participante au rallye moto de l'Essonne.
Je ne pense pas être une motarde expérimentée... mais le job à pas l'air trop compliqué...

Je veux bien aider à encadrer.

Anne, ne le prend pas mal, mais je doute que ce soit une bonne idée à débuter en encadrement de groupes sur ce type de manifestation:
Il faut encadrer des gens pour qui la pratique du quinconce est inconnue et avec des niveaux hétérogènes. Les ouvreurs sont des gendarmes et roulent plutôt sur un rythme enlevé pour respecter les timings entre les ateliers.
Il s'agit de faire garder une cohésion à un groupe de 50 motards, autrement dit, il faut avoir les yeux partout et les manoeuvres lentes ou prises de decisions rapides doivent être instinctives sous peine de se mettre et de mettre le groupe en difficultés.
Rassures toi, il y a les balades Casim pour s'initier en toute sécurité a l'encadrement de groupes et ça reste la meilleure école pour progresser pas a pas, en prenant du plaisir.

Je plussoie Olivier !

Je rajouterai même qu'un motard expérimenté ne sait pas forcement encadrer un groupe. Et encadrer un groupe homogène de 6/8 motards est encore différent d'encadrer un groupe hétérogène de 50 avec un ouvreur qui roule à sa main.

Je suis disponible et me suis inscrit. J'ai déjà participé à des journées pédagogique organisées par les FDO je me sens donc un peu redevable et me ferai une joie de les aider pour l'encadrement. (Bien que des groupes de 50 ça me fait un peu peur surtout que, comme l'a dit Olivier, le rythme sera sans doute soutenu).

Epilepsie????

LAGROGNE a écrit :Epilepsie????

LAGROGNE a écrit :Anne, ne le prend pas mal, mais je doute que ce soit une bonne idée à débuter en encadrement de groupes sur ce type de manifestation:Il faut encadrer des gens pour qui la pratique du quinconce est inconnue et avec des niveaux hétérogènes. Les ouvreurs sont des gendarmes et roulent plutôt sur un rythme enlevé pour respecter les timings entre les ateliers.Il s'agit de faire garder une cohésion à un groupe de 50 motards, autrement dit, il faut avoir les yeux partout et les manoeuvres lentes ou prises de decisions rapides doivent être instinctives sous peine de se mettre et de mettre le groupe en difficultés.Rassures toi, il y a les balades Casim pour s'initier en toute sécurité a l'encadrement de groupes et ça reste la meilleure école pour progresser pas a pas, en prenant du plaisir.

Pas de souci pour l'encadrement ! Je pensais que c'était plus "facile" que ça... (juste guider les gens, genre rester sur le bord de la route pour indiquer le bon chemin... et je voyais pas les différents ateliers aussi éloignés et les groupes aussi nombreux...)

Comme le mail a été envoyé à tous les casimirs, je me suis dit qu'on devait tous avoir le niveau...

Inscrit aussi.

Bien rentré mais cramé. La matinée à faire le chien de berger au milieu d'un troupeau de 50 motards, ben on sait au moins à quoi sert la Casim. On a de l'avenir, c'est encourageant.
L'après midi en balade avec un gendarme en compagnie de William. Le retour se fera en mode..."dynamique" et je n'ai pas boudé mon plaisir.

Seul regret dans cette journée très positive, c'est le manque de concertation amont avec la Casim pour bien répartir les tâches et expliquer au public quel est le rôle des gens de la Casim pour cette journée et surtout, une absence de remerciements de la part des autorités, qui à aucun moment n'ont associé la Casim 77 dans la réussite de cette journée. Plan comm à revoir...

Pas très sympa

Bonjour,

Merci à tous ceux qui ont répondus présents pour participer à cette journée.
En effet nous avons été difficilement intégrés à l'organisation nous n'avons obtenu aucun remerciement public mais nous avons fait le job et sans notre présence ça aurait été plus le bazars dans les grands groupes.

J'espères que vous avez pu avoir des échanges intéressants avec les gendarmes qui vous accompagnaient même si je connais à peu prêt leur attitude dubitative par rapport à notre action.

Je comprend que vous avez aussi pu rouler avec de plus petits groupes. même si je ne comprend pas comment l'organisation à évoluer ainsi, c'est heureux pour vous.

Il ne reste plus qu'à faire un CR de cette journée.
Ce qui serait idéal serait d'avoir un CR vu des encadrants et au autre vu de l’intérieur de la journée par un casimir qui était inscrit.

Y a t'il des volontaires ?

Sans bonnes volontés je me verrais dans l'obligation d'utiliser ma compétence "volontaire désigné sur des critères douteux" que me confère les nouveaux statuts...

Un débriefing est prévu avec les gendarmes ?

Allez, un petit retour sur cette journée.

Soleil au beau fixe, de ce point de vue nous n'avons pas été déçus.

Pour ce qui est de la participation de la Casim, je pense que ceux qui ont participé en simple motards ont bien profité de leur journée.A eux de confirmer le cas échéant.

En ce qui concerne les moniteurs et aides-moniteurs qui ont encadré, ce fut moins drôle car pas de roulage à toc avec un ouvreur en bleu (sauf pour certains tire-au-cul que je ne citerais pas ici...), et juste un rôle de garde-chiourme pour mener les participants d'atelier en atelier... Pas très drôle mais bien utile, car 30 à 40 motards derrière un seul MIB, et avec des trajets en ville et donc des feux tricolores, je crois pouvoir dire que nous avons servi à quelque chose.

Ce qui m'a le plus frappé, c'est le gouffre constaté entre le mode de roulage en groupe Casim, propre, organisé et ordonné, et le grand n'importe quoi des participants lâchés en meutes sur route ouverte, avec un MIB qui avec la meilleure volonté du monde ne pouvait surveiller dans ses rétros que 10 motards, donc en gros 20 autres derrière qui faisaient un peu ce qu'ils voulaient, assurés de ne pas se prendre une prune...

Je ne compte pas les dépassements plus que limite, le strict non respect des autres motards et des automobilistes, les feux rouges parfois "oubliés", etc...
Et le plus beau, un trou du cul qui me sort un premier wheeling dans une ligne droite du Coudray, et qui remet ça sur l'A6 !!!! Peu habitué au sein de la Casim à ce genre de fantaisies aussi inutiles que dangereuses, j'assure que les bras m'en sont tombés...
Je me suis gentiment permis d'aller lui demander d'arrêter ses conneries, il a obtempéré sans souci mais n'a toujours pas compris à mon avis à cette heure mon propos consistant à lui expliquer le but pédagogique de la journée...
Et un autre qui a voulu propulser Jonjon dans la seine, ce dernier n'ayant sauvé sa belle et neuve moto du plongeon qu'en plantant les freins comme un trappeur...

En conclusion, j'aurais apprécié deux choses :

- Que la Casim soit citée comme partenaire de l'évènement lors des discours en début et fin de journée, car je pense que nous avons été fort utiles... Le Gendarme avec qui Fred, Jonjon et moi avons passé la journée m'a remercié chaleureusement et reconnaissait que la Casim n'avait été malheureusement citée qu'une fois lors de l’énoncé d'une liste interminables de partenaires en fin de journée (pas entendu pour ma part...).

- Que les participants soient dument informés de notre présence et de notre rôle lors des roulages inter-ateliers, car je pense que beaucoup n'ont toujours pas compris que nous étions là pour les aider à rejoindre les ateliers vivants, alors même qu'ils ignoraient où ceux-ci se trouvaient... trop occupés à rouler comme des trous du cul, certainement...

Donc je ne suis pas contre participer de nouveau à ce type de journée pour aider les MIB, mais à la condition que les deux points précédents soient pris en compte.

Ah oui, dernière chose, pour la tombola l'année prochaine, je veux bien qu'ils prévoient une combinaison piste Dainese, car au moins ce lot je pourrais le garder plutôt que de le filer à mon fils (bien content au demeurant de récupérer un AGV K5...tu m'étonnes...).

Vivement samedi prochain pour vous retrouver pour notre première journée Casim de la saison, car il m'a été donné de voir hier toute l'utilité de notre action !

Très bonne synthèse Olive, mais que je complète avec celle des deux tire au cul, qui il est vrai, se sont fait plaisir en balade . Il faut dire que c'était un peu le souk au niveau des attributions d'accompagnement... :

Cette journée EDSR 91 est la plus grosse manifestation du genre sur le territoire, inutile de vous dire que plus de 400 motards inscrits mobilisent beaucoup de personnel et de moyens financiers pour mener à bien cette journée dédiée à la sécurité routière des motards. Le budget, rien à dire, il était de plus de 23000.00€, grâce aux contributeurs que sont les sponsors locaux, privés et publics et ce qui aura permis d’offrir un excellent café croissant et un déjeuner complet à l’ensemble des participants et autorités.
Sur les effectifs dédiés à l’encadrement, pas de sponsors mais des bénévoles dont la Casim 77, avec une dizaine de casimirs et casimirettes rompus au roulage de groupe et à la conduite de groupes, grâce à qui et je l’assume sans honte aucune, les transferts d’un site à l’autre pour les ateliers répartis autour de Corbeil ont été une réussite, malgré des groupes de 40 motards en moyenne, tandis que les effectifs de la BMO 91 et de la Garde Républicaine étaient en charge des groupes de balades avec des groupes de 6 motos maximum, mais nous y reviendrons…
La météo était avec nous ce jour là, avec un soleil omniprésent et une température agréable tout au long de cette journée, contribuant grandement à la bonne ambiance et au succès de cette dernière.
Après le café croissant d’accueil précédant le contrôle des motos, des papiers de celles-ci et de leurs propriétaires, tous les participants et encadrants se retrouvent dans le gymnase David Douillet pour la présentation de la journée et le discours des autorités locales, préfectorales, ministérielles et militaires. A noter, la présence de M.Barbe, actuel délégué interministériel à la Sécurité Routière (zut, pas de Mme. Perrichon hi, hi !).
Après ce petit passage obligé et la transmission des consignes de sécurité, des différents ateliers et la répartition des groupes, l’Adjudant Duclos prend les encadrants de la Casim pour les répartir dans des groupes. Nous sommes en charge du transfert d’une cinquantaine de motards d’un point à un autre, quatre au total, empruntant des parcours route, ville, autoroute. Chaque convoi est ouvert par un gendarme de la BMO. Je me retrouve avec William et Thomas pour notre premier atelier qui se trouve à la caserne des pompiers de Corbeil, une petite dizaine de kilomètres de notre point de départ.
Première impression, oups, 35 motos, c’est …énorme et 4 au total pour encadrer, c’est peu. Petit détail, il ne sera pas dit aux participants quel rôle sont chargés de jouer ces étranges motards en gilets jaunes fluo, on dirait des, mais qui n’en sont pas… première petite faille de l’organisation.
Dès que le convoi se met en branle, c’est la fête au village, tant de motos différentes, de motards aux niveaux hétérogènes mais avec un point commun, aucune expérience du roulage en groupe et de la discipline inhérente à cette technique. Je ferme le convoi avec William et d’entrée de jeu, je vois Thomas prendre les choses en mains pour tenter de faire garder un aspect cohérent au groupe, de façon à ce que celui-ci ne se mette pas en danger et ne mette pas non plus les autres usagers en danger. William et moi appliquons les mêmes techniques, mais il faut reconnaitre qu’il faut immédiatement s’affirmer car l’indiscipline et l’inexpérience sont les maîtres mots de ce groupe.
Nous arrivons enfin à la caserne des pompiers, tout les monde est là, pas de pertes. Nous débriefons rapidement avec Massimo, notre gendarme ouvreur pour lui faire part de notre ressenti. Celui-ci nous fait fractionner les groupes pour le second atelier, qui se trouve aux pieds des moulins de Corbeil. Ca se complique aussi, du fait du départ de Thomas pour des obligations perso. Massimo prend un groupe d’une quinzaine de motos, William et moi nous chargeons d’encadrer les 20 autres.
C’est à ce moment que je prends conscience que nous sommes des chiens de bergers, guidant un « troupeau » indiscipliné et inexpérimenté, non pas dans les alpages, mais en parcours urbain, où les pièges ne manquent pas. Je peux vous dire que c’est à ce moment là qu’on sait que l’on ne perd pas son temps à la Casim, tant au niveau de l’apprentissage, que des progrès que l’on a accompli et que l’avenir de notre cause est réel avec tout ce potentiel de gens à former.
La mission s’apparente maintenant à un réel convoyage, où il faut prendre des décisions pour lesquelles nous n’avons pas forcément d’habilitation, à savoir, arrêter la circulation à un rond point pour faciliter le passage du groupe, faire quelques entorses au code pour faire recoller des retardataires ou des hésitants au sein dudit groupe.
Le second atelier se termine et déjà nous repartons sur les Coudray Montceaux à notre point de départ, en empruntant l’A104 et l’A6, une formalité. Sauf que ces deux axes sont complètement bouchés, du fait de travaux et faire passés 35 motos en interfile, ça va être « sport ». Massimo ouvre la voie avec sirène et gyrophare pour désengorger cet attroupement de motards au milieu des bouchons. William prend en charge une jeune permis en Ducati qui est en panique totale et refuse de faire de l’interfile. Je fais tout mon possible pour que le groupe ne se sépare pas et le guider en sécurité. Le chien de berger a repris du service : je n’arrête pas de remonter le groupe pour indiquer sur quelle voie se positionner, à ce moment je n’ai plus les deux mains en même temps sur le guidon, j’ai les yeux en 16/9 em et les méninges à 200 à l’heure et je réussis à en récupérer qui partaient pour Lyon en loupant la sortie des Coudray Montceaux. J’ai dû au moins perdre tous mes points, car entre rouler sur la BAU, chevaucher les zébras, les injonctions faites aux voitures, ça fait au moins 12 points, mais au final, tout le monde arrivé à bon port.

Honnêtement, gros coup de barre à l’arrivée car gros stress durant ce convoyage, mais heureux de l’avoir fait.
Massimo annonce à William et moi que nous avons deux heures de pause pour déjeuner, qui se réduiront à 30 mn, quand Olivier et Fred viennent nous chercher pour nous dire que nous sommes attendus pour le débrief de l’après midi. A peine le temps de finir le repas que nous nous retrouvons tous les deux au milieu d’un parking vide… Du coup, on se rend sur le grand parking, où nous nous retrouvons avec un autre gendarme de la BMO de Palaiseau et 3 autres motos et c’est parti pour une balade, chouette !
Nous avons parcouru 15 km. Quand William me dit : « mais si nous sommes là, qui est-ce qui assure les convois de cet après-midi ?….oups ! ».

Bon trop tard, on va pas faire demi-tour et puis Olive et Fred ils aiment ça se taper les têtes de bois. Donc nous voilà partis pour 90 km de balade. Là aussi, nous pouvons voir la différence entre un roulage Casim et hors Casim. Un bon petit groupe mais on pionce à l’arrière. Notre gendarme s’en aperçoit et après la pause (merci à lui car il a payé sa tournée : la tête des gens quand ils voient entrer et sortir un gendarme et des motards du bistrot), il met William et moi en deux et trois et là…. Gazzzzzz !!!!!P….n que c’est bon ! Les ronds points, wizzzz, les courbes….re wizzzzz. Et de penser que nos petits potes de la Casim n’ont pas cette chance, c’est trop fun !!!
Tout à une fin et nous revoilà à notre point de départ. Nous retrouvons toute notre petite bande de la Casim et échangeons sur le déroulement de cette journée et du plaisir que nos avons à rouler entre nous et de la hâte d’arriver à notre premier CPM de la semaine prochaine.

Vient le moment du tirage au sort de la tombola qui sourira à Michel et Olivier A, un chargeur de Smartphone pour l’un et un casque AGV pour le second, super !!!
Vient ensuite le discours de clôture des autorités et second couac de cette pourtant belle journée : aucune mention ou remerciement de la participation de la Casim 77 au déroulement et à l’encadrement des groupes, c’est par très fair play, mais comme dit Thomas, on a fait le job. A revoir pour la comm l’an prochain.

Pour conclure, très belle journée et très bonne expérience. La Casim est d’utilité publique et à l’heure où le législateur s’interroge sur la formation post permis, on peut raisonnablement penser et dire que la Casim y a toute sa place, quand on voit le niveau du motard lambda lors de cette journée.

Un peu déçu pour ma première participation en tant encadrant sur ce type de journée.
Bon on a quand même servi a quelque chose.
Je rejoint Olivier sur le plan com à revoir.
Cela aurait été bien d'avoir les coordonnées des différents ateliers.
Dans notre groupe du matin nous n'avons pas eu le droit aux kékés.
Bon par contre on c'est tapé le gars de la sécurité routière.
Les GSA Brothers s'en souviennent.
Le groupe de l'après midi juste un gars qui faisait un peu de bruit, mais recadrer par les FDO.
Pour ce qui est de rouler en groupe et bien vu qu'il n'y a eu aucunes consignes avant de partir on ne peut pas avoir de miracle.
Ce n'est pas la première fois que je constate le manque de consigne de roulage lors de journée comme celle là. Principalement chez les bleus, chez les blancs ils nous expliquait les consignes de roulage avant de partir.

Bon le point positif de cette journée pour moi, c'est que les GSA Brothers m'ont donner une autre méthode pour stoppé une hémorragie.
Et bien il faut sortir la machine a fabriqué le boudin.

Bon au final une journée sympa et la Casim était présente.

LAGROGNE a écrit :« mais si nous sommes là, qui est-ce qui assure les convois de cet après-midi ?….oups ! »

Ben je pense qu'on avait récupéré une partie de tes poussins Olive... 40 personnes à convoyer l'après-midi... Vous perdez rien pour attendre...

Je plussoie ce qui a été écrit par mes comparses

Notre gendarme, Jérôme, très sympa et avenant au passage a discuté avec nous lors de notre rapide repas quand son collègue non motard nous a demandé ce qu'on faisait avec la CASIM.
Je pense qu'il a apprécié ce qu'on fait avec la CASIM mais manque de temps visiblement pour se consacrer à nous.

LAGROGNE a écrit :Nous avons parcouru 15 km. Quand William me dit : « mais si nous sommes là, qui est-ce qui assure les convois de cet après-midi ?….oups ! ».

Oliv5568 a écrit :Ben je pense qu'on avait récupéré une partie de tes poussins Olive... 40 personnes à convoyer l'après-midi... Vous perdez rien pour attendre...

En fait, c'est mon groupe de l'après-midi qui n'a pas eu d'encadrant CASIM...

Nous partîmes quarante; mais par un malencontreux feu tricolore, nous nous vîmes une vingtaine seulement en arrivant au port... (enfin à la caserne des pompiers, mais j'ai pas trouvé un truc qui rime).

Et d'entendre Massimo pester en voyant son groupe ayant fondu comme neige au soleil en arrivant : "Mais ils sont où les mecs de la CASSIM ?" (oui, prononcer CASSIM, et non CAZIM...)

Et bah ... En lisant tout ça, je sais quelle sera le sujet de discussion de samedi prochain en plus de celui de la rentrée.