C'est avec le cœur lourd que je vous informe que Julien, motard inscrit à notre journée du 7 avril, n'est jamais arrivé. Sa femme et ses enfants ne le reverront jamais à la maison. Nous pensons très fort à eux.
Reposes en paix Julien.
Je vous invite à lui rendre hommage sur ce fil.
Nous leur transmettrons vos messages de condoléances.
Nous sommes vulnérables et le décès de Julien nous le rappelle une nouvelle fois.
Je ne connaissais pas Julien mais la passion de la moto et l'attention que nous portons à la sécurité nous rapprochent. J'aurais aimé le connaitre et rire avec lui et ses proches.
Je pense à son épouse et à ses enfants qu'aucuns mots ne sauront consoler. J'espère que vous trouverez soutien et force auprès de vos proches.
Et dire qu'on était là pour faire la fête. Julien venait pour faire la fête, venir faire notre connaissance, rouler avec nous, partager nos expériences. Il n'en a pas eu l'occasion, et ne l'aura plus. Cela bascule si vite. Trop vite. Et pourtant il savait : il s'intéressait à la SR, il était équipé, et cela n'a finalement servi à rien. Je ne le connaissais pas, mais je sais qu'il nous était proche.
La CASIM est née elle aussi d'un décès. J'ai toujours trouvé l'histoire triste. Belle, mais triste. On a beau savoir que cela peut tous nous arriver, on a beau s'équiper, s'informer, tenter de s'améliorer, il restera toujours l'inévitable. Mais si notre action à tous, au sein de la CASIM ou en dehors, pouvait faire que peut-être on pouvait éviter un motard ou deux de se tuer, alors on n'aura pas fait tout ça en vain.
J'ai le cœur lourd, et je pense à Julien et à toute sa famille. Et rien de ce que je ne pourrais dire ne servira à grand chose, mais je voudrais que sa famille sache que je partage sa peine.
Je ne suis pas très doué pour exprimer mes sentiments. Je reste choqué et attristé du malheur qui frappe la famille et les amis de Julien.
Julien faisait partie de notre communauté, il était sensible à sa sécurité, c’est ce qui rend ce drame insupportable.
Je présente mes sincères condoléances à la famille de Julien et ses proches.
Lorsque j'ai appris mardi la suite des nouvelles de lundi, j'en été chamboulé, ça peut arriver à n'importe qui, nous ne choisissons pas le moment même si nous essayons de la prévenir par notre attitude responsable. J'imagine comme j'ai pris plaisir à partager cette journée avec des copains et me dire que cela aurai pu être n'importe lequel à ne plus être là, moi le premier.
Mon épouse se joint à moi pour présenter nos condoléances.
Pour moi, il a suffi d'un mail pour figer ce sentiment de journée réussie en sentiment d'horreur et d'injustice..
Un nom, un visage que nous ne connaitrons jamais, un absent ce matin là... qui ne partagera rien...
Julien, tu avais décidé de venir rouler avec nous aux Ecuyers pour te perfectionner... ironie du sort... le destin en a décidé autrement!
Fichu destin qui fauche une vie brutalement et fait basculer l'existence de toute une famille.
De tout coeur avec tes proches, je leur souhaite plein de courage pour affronter les jours à venir... et bien au delà...
Dominique
J'adresse à mon tour mes plus sincères condoléances à la famille de Julien.
Nous sommes tous dans la peine, et les mots, certes vains, sont parfois source d'un minimum de réconfort au combien nécessaire en pareilles circonstances.
Je n'avais pas le plaisir de connaitre Julien, mais le fait qu'il roulait pour nous rejoindre prouve qu'au moins nous partagions la même passion et avions conscience de l'importance de se former, encore et encore, et s'équiper comme la pratique l'impose.
Je ne connaissais pas Julien et pour tout vous dire, je n'ai entendu parler de lui que pour apprendre la tragique nouvelle... Mais le simple fait qu'il venait à cette journée de formation et de prévention organisée par mon club, la CASIM77, m'a rapproché de lui. Motard, époux et père de famille, c'est véritablement choqué et peiné que je souhaite adresser à sa femme, sa famille et ses amis mes plus sincères condoléances..
Quelle situation absurde. Trouver la mort quand on vient se former pour éviter le pire. Quelle injustice. C'est révoltant. Je pense très fort à son épouse, je pense très fort à ses enfants. Attendre en vain quelqu'un qui ne reviendra plus.
Oui, notre passion commune est dangereuse, mais oui, ce qui nous unit est d'en avoir conscience et de tenter de tout mettre en place pour éviter ce scénario et pourtant...
Ne pas renoncer, nous lui devons bien ça à Julien, à sa famille.
Reposes en paix et puissent tes proches se remettre un jour de ce drame. Tu n'es pas loin, juste derrière la porte...
Olivier
Plus je me juge, moins je m'estime, mais plus je me compare, plus je me rassure.
Comme d'autres ici, je ne suis pas très doué pour trouver "les mots qu'il faut" en de telles circonstances.
Toutes mes condoléances à sa famille et ses proches.
quel paradoxe , perdre la vie quand on vient pour la protéger .
je n'aurai pas eu le plaisir de faire ta connaissance , et les mots que je pourrai écrire ne pourront jamais refermer la douleur de la perte d'un mari et d'un père .
Quand je ne t'ai pas vu arriver ce lundi matin, je me suis inquiété sans penser au pire.
Panne de réveil, j'en doutais un peu vu que tu avais hâte de venir faire cette journee avec nous.
Tu avais même joué le jeu en préparant un cache plaque pour notre petit concours photo.
Le message de Sandrine nous a glacé le sang.
Je ne sais que dire qui pourrait apaiser la peine que nous tous ressentons.
Tu étais sensible à la sécurité des motards, ce qui t'as conduit à nous rejoindre en ce jour.
Malheureusement le sort en a décidé autrement.
Toutes mes condoléances a Sandrine et à tes enfants, à tes parents également.
J'ai éprouvé beaucoup de peine et de tristesse en apprenant cette triste la nouvelle.
Je me joins à tous mes camarades pour présenter mes condoléances les plus sincères à sa famille, à ses proches, à ses amis.
C'est injuste !
"Le succès n’est pas définitif, l’échec n’est pas fatal, c’est le courage de continuer qui compte." [Winston Churchill]
Toutes mes condoléances pour la famille de Julien.
Je ne le connaissais pas mais ça m'a choqué d'apprendre la nouvelle, comme tout le monde. Un accident surement tout ce qu'il y a de plus banal qui vire au drame, c'en est presque ridicule et nous rappelle que personne n'est à l'abri de ça...
Quelle injustice et quelle ironie du sort... pendant que nous faisions une journée de perfectionnement moto.
J'étais venu là mardi matin pour partager ma joie suite à la journée piste de lundi mais celle-ci est bien vite retombé en apprenant la terrible nouvelle.
Comme beaucoup, je ne connaissais pas Julien, mais c'était un motard qui s'intéressait à la CASIM et à la sécurité ; la perte est encore plus grande.
Toutes mes condoléances à sa famille et ses proches.
Je ne connais ni Julien ni Sandrine et pourtant je tiens à leur parler en
utilisant leurs prénoms. Je ne connais pas les prénoms de leurs enfants, j'aurais
aimé leur parler de la même manière.
Julien, tu es devenu un membre malheureusement éphémère de ma famille. Sandrine et
les enfants, vous êtes devenus membres de ma famille depuis que j'ai appris cette
nouvelle.
On aime rarement découvrir un nouveau membre de sa famille au moment où on le
perd…
Sandrine et les enfants, malgré le vide que vous ressentez, votre famille s'est
agrandie ce jour-là. Comme toute famille, nous sommes là pour vous et tristes avec
vous.