Plus forts que Météo-France
Modérateurs : Val, tomdarkside
Plus forts que Météo-France
Très forts les membres du bureau de la CASIM 77.
Equipée de l'ordinateur le plus puissant de France, avec celui de l'X, Météo-France ne peut prévoir le temps de manière fiable que pour les 3 jours à venir, alors que la CASIM77, sans matos sophistiqué, vous fournit la liste des dimanches pluvieux pour toute la saison, et vous assure la pluie même quand ce n'est pas nécessaire, comme ce 10 décembre pour un CPM en salle
Et ceci avec une précision remarquable : il a plu à verse le matin pour l'aller, et le soir pour le retour. Entretemps, pas de pluie : ce n'était pas nécessaire
Equipée de l'ordinateur le plus puissant de France, avec celui de l'X, Météo-France ne peut prévoir le temps de manière fiable que pour les 3 jours à venir, alors que la CASIM77, sans matos sophistiqué, vous fournit la liste des dimanches pluvieux pour toute la saison, et vous assure la pluie même quand ce n'est pas nécessaire, comme ce 10 décembre pour un CPM en salle
Et ceci avec une précision remarquable : il a plu à verse le matin pour l'aller, et le soir pour le retour. Entretemps, pas de pluie : ce n'était pas nécessaire
- Amy Kawette
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- Inscription : dim. oct. 11, 2015 16:46
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- Prénom : Anne
Re: Plus forts que Météo-France
Ne t'inquiète pas ! Sylvain et moi avons pu pleinement profiter des caprices de dame météo lors de notre WE au plateau des Millevaches !
Aller plutôt sympa, avec du soleil en majorité mais quelques averses de grêle tout de même histoire de nous rappeler que c'est l'hiver, nanmého !
Arrivée en Auvergne au coucher du soleil, avec de superbes virolos entre deux montagnes enneigées... Wouah ! On en prend plein la vue... mais on se dit quand même que la nuit tombe, les routes sont humides, et la température flirte avec les 0 degré... donc on roule sur des oeufs...
Puis la nuit tombe pour de bon, les routes sont brillantes, et moi je teste la capacité de ma réserve au fin fond de l'Auvergne . Bon, je sais maintenant que Kawette tient au moins 242,4 km sans tomber en panne sèche, soit 49 km sur la réserve. Merci aux jumeaux pour l'idée du siphonnage de réservoir ! C'était notre solution de secours pour arriver à la prochaine station service.
Première nuit dans un gîte, histoire de pas trop en c.... quand même... Bon repas, et bonnes rigolades !
Le lendemain, superbe temps, mais quelques routes enneigées. On ne s'est pas risqué au "trail" dans les petits chemins, même si certains ont essayé de nous y convaincre. Après diverses palabres autour d'une moto qui ne démarrait plus, resto du midi, et courses pour le "repas" du soir, nous arrivons sur le plateau des Millevaches en fin d'après-midi seulement, et découvrons un spectacle mystique !
Imaginez un plateau complètement enneigé sous un soleil rasant, des milliers de motos, side-cars ou quads en tout genre, des milliers de tentes, et toute cette scène est estompée sous l'épaisse couche de fumée des milliers de feux de camp qui ont fleuri un peu partout... une scène à la Mad Max !
Il s'agit maintenant de garer la moto quelque part "là-dedans"... les chemins sont un peu déneigés et encore dur du gel, donc le tour de chauffe pour retrouver nos collègue se fait sans trop de difficulté. J'avoue avoir été petit joueuse et avoir laissé ma moto à un "grand" lorsqu'il a fallu la garer sur une neige bien damée. Vient ensuite un moment folklorique : le montage de la tente à la lampe frontale, parce bien sûr la nuit était tombée depuis ! mais nous y arrivons, malgré nos doigts engourdis par le froid. Il est maintenant temps de se restaurer autour de notre feu de camp, de raconter nos exploits de motards, et de refaire le monde...
Nous allons nous coucher à une heure raisonnable, alors que certains commence à défaire le monde. Heureusement, nous sommes plutôt bien équipés : petit matelas gonflable, deux duvets, bonnet sur la tête, et petites chaufferettes à coller sur les chaussettes, le dos ou les mains. Le top ces chaufferettes ! J'ai réussi à passer une "plutôt" bonne nuit malgré les conditions. 3h du matin, celle que nous redoutions pointe le bout de son nez : la pluie ! Elle ne nous a presque plus quitté de la journée...
Réveil pour tout le monde à 8h le lendemain. Nous décidons de tout remballer tout de suite, et de prendre le petit déjeuner sur la route. Enfin, c'est ce que nous espérions...
La pluie a transformé ce beau plateau auvergnat en un gros champ de boue et de neige fondue... nous plions donc notre tente 6 places tant bien que mal, avec nos kway ou nos casques sur la tête histoire d'être le plus hermétique possible à la pluie... ce ne fut pas une mince affaire, d'ailleurs certains ont renoncé et ont abandonné leur tente sur le plateau...
On charge les motos, et là commence la ronde des "vas-y que je te pousse", "vas-y que je patine dans la boue", ou "vas-y que je me casse la gueule"... Chacun s'entraide heureusement ! C'est le gros bouchon à la sortie du campement. Cette fois-ci, c'est moi qui m'y colle pour sortir la moto, encadrée par quelques camarades pour parer à toute chute éventuelle. Ouf ! Ça passe ! Heureuse de garer Kawette sur du dur. On retrouve nos dernier camarades pour les aider à sortir... et là, malheur ! La moto qui avait du mal à démarrer hier ne démarre à nouveau plus... finalement, elle rentrera à Paris sur remorque.
Les motos qui roulent encore prennent finalement la route en toute fin de matinée, bien plus tard que ce qui était prévu, et les motards sont trempés avant même d'avoir commencé à rouler ! Le retour va être long... très long... et froid !
Nous roulons à faible allure au début, certains ne voyant pas clair dans leur visière, d'autres dangereusement déstabilisés par les bourrasques de vent avec leur motos chargées comme des camions.
Première pause à 50 bornes pour un petit chocolat chaud. Il et midi, et le moral est dans les chaussettes. On décide d'abondonner les virolos pour rentrer au plus court sur Paris.
On repart donc pour de la voie rapide, avec un temps digne des balades les plus mémorables de la CASIM 77. Le déjeuner à 14h a été plus que bienvenu ! Nous n'avions qu'un chocolat chaud dans le ventre depuis la veille, et nous sommes frigorifiés. Là, le cuisto du resto d'autoroute, motard lui aussi, nous propose de mettre nos gants et cagoules à sécher... dans son four à 80 degré qui sert à maintenir les plats au chaud ! On repassera pour l'hygiène , mais nous avons tout de même accepté cette gentille proposition.
On repart vers 16h avec un peu plus de baume au coeur. On trace notre route, notre ouvreur s'emballe parfois sur la vitesse, trop pressé de rentrer. Finalement, le pluie cesse de temps en temps, et j'ai la sensation de "sécher". Dernière pause au Mac Do de Vierzon, puis on se dit au revoir car on rentre d'une traite pour la suite du parcours. On repart, on se sépare au fur et à mesure, et je retrouve mon cher périph avec un certain enthousiasme ! Retour de Kawette au box vers 21h30, et là je constate que j'ai laissé un morceau sur la route : un de mes embouts de guidon s'est fait la malle sur la dernière portion du trajet, alors que pendant tout le séjour, je m'amusais à les resserrer à chaque pause (à cause du montage des manchons). Tant pis, nous sommes tous rentrés sains et saufs, sans grosse casse, avec des souvenirs plein la tête. Ça vaut bien un embout de guidon...
Aller plutôt sympa, avec du soleil en majorité mais quelques averses de grêle tout de même histoire de nous rappeler que c'est l'hiver, nanmého !
Arrivée en Auvergne au coucher du soleil, avec de superbes virolos entre deux montagnes enneigées... Wouah ! On en prend plein la vue... mais on se dit quand même que la nuit tombe, les routes sont humides, et la température flirte avec les 0 degré... donc on roule sur des oeufs...
Puis la nuit tombe pour de bon, les routes sont brillantes, et moi je teste la capacité de ma réserve au fin fond de l'Auvergne . Bon, je sais maintenant que Kawette tient au moins 242,4 km sans tomber en panne sèche, soit 49 km sur la réserve. Merci aux jumeaux pour l'idée du siphonnage de réservoir ! C'était notre solution de secours pour arriver à la prochaine station service.
Première nuit dans un gîte, histoire de pas trop en c.... quand même... Bon repas, et bonnes rigolades !
Le lendemain, superbe temps, mais quelques routes enneigées. On ne s'est pas risqué au "trail" dans les petits chemins, même si certains ont essayé de nous y convaincre. Après diverses palabres autour d'une moto qui ne démarrait plus, resto du midi, et courses pour le "repas" du soir, nous arrivons sur le plateau des Millevaches en fin d'après-midi seulement, et découvrons un spectacle mystique !
Imaginez un plateau complètement enneigé sous un soleil rasant, des milliers de motos, side-cars ou quads en tout genre, des milliers de tentes, et toute cette scène est estompée sous l'épaisse couche de fumée des milliers de feux de camp qui ont fleuri un peu partout... une scène à la Mad Max !
Il s'agit maintenant de garer la moto quelque part "là-dedans"... les chemins sont un peu déneigés et encore dur du gel, donc le tour de chauffe pour retrouver nos collègue se fait sans trop de difficulté. J'avoue avoir été petit joueuse et avoir laissé ma moto à un "grand" lorsqu'il a fallu la garer sur une neige bien damée. Vient ensuite un moment folklorique : le montage de la tente à la lampe frontale, parce bien sûr la nuit était tombée depuis ! mais nous y arrivons, malgré nos doigts engourdis par le froid. Il est maintenant temps de se restaurer autour de notre feu de camp, de raconter nos exploits de motards, et de refaire le monde...
Nous allons nous coucher à une heure raisonnable, alors que certains commence à défaire le monde. Heureusement, nous sommes plutôt bien équipés : petit matelas gonflable, deux duvets, bonnet sur la tête, et petites chaufferettes à coller sur les chaussettes, le dos ou les mains. Le top ces chaufferettes ! J'ai réussi à passer une "plutôt" bonne nuit malgré les conditions. 3h du matin, celle que nous redoutions pointe le bout de son nez : la pluie ! Elle ne nous a presque plus quitté de la journée...
Réveil pour tout le monde à 8h le lendemain. Nous décidons de tout remballer tout de suite, et de prendre le petit déjeuner sur la route. Enfin, c'est ce que nous espérions...
La pluie a transformé ce beau plateau auvergnat en un gros champ de boue et de neige fondue... nous plions donc notre tente 6 places tant bien que mal, avec nos kway ou nos casques sur la tête histoire d'être le plus hermétique possible à la pluie... ce ne fut pas une mince affaire, d'ailleurs certains ont renoncé et ont abandonné leur tente sur le plateau...
On charge les motos, et là commence la ronde des "vas-y que je te pousse", "vas-y que je patine dans la boue", ou "vas-y que je me casse la gueule"... Chacun s'entraide heureusement ! C'est le gros bouchon à la sortie du campement. Cette fois-ci, c'est moi qui m'y colle pour sortir la moto, encadrée par quelques camarades pour parer à toute chute éventuelle. Ouf ! Ça passe ! Heureuse de garer Kawette sur du dur. On retrouve nos dernier camarades pour les aider à sortir... et là, malheur ! La moto qui avait du mal à démarrer hier ne démarre à nouveau plus... finalement, elle rentrera à Paris sur remorque.
Les motos qui roulent encore prennent finalement la route en toute fin de matinée, bien plus tard que ce qui était prévu, et les motards sont trempés avant même d'avoir commencé à rouler ! Le retour va être long... très long... et froid !
Nous roulons à faible allure au début, certains ne voyant pas clair dans leur visière, d'autres dangereusement déstabilisés par les bourrasques de vent avec leur motos chargées comme des camions.
Première pause à 50 bornes pour un petit chocolat chaud. Il et midi, et le moral est dans les chaussettes. On décide d'abondonner les virolos pour rentrer au plus court sur Paris.
On repart donc pour de la voie rapide, avec un temps digne des balades les plus mémorables de la CASIM 77. Le déjeuner à 14h a été plus que bienvenu ! Nous n'avions qu'un chocolat chaud dans le ventre depuis la veille, et nous sommes frigorifiés. Là, le cuisto du resto d'autoroute, motard lui aussi, nous propose de mettre nos gants et cagoules à sécher... dans son four à 80 degré qui sert à maintenir les plats au chaud ! On repassera pour l'hygiène , mais nous avons tout de même accepté cette gentille proposition.
On repart vers 16h avec un peu plus de baume au coeur. On trace notre route, notre ouvreur s'emballe parfois sur la vitesse, trop pressé de rentrer. Finalement, le pluie cesse de temps en temps, et j'ai la sensation de "sécher". Dernière pause au Mac Do de Vierzon, puis on se dit au revoir car on rentre d'une traite pour la suite du parcours. On repart, on se sépare au fur et à mesure, et je retrouve mon cher périph avec un certain enthousiasme ! Retour de Kawette au box vers 21h30, et là je constate que j'ai laissé un morceau sur la route : un de mes embouts de guidon s'est fait la malle sur la dernière portion du trajet, alors que pendant tout le séjour, je m'amusais à les resserrer à chaque pause (à cause du montage des manchons). Tant pis, nous sommes tous rentrés sains et saufs, sans grosse casse, avec des souvenirs plein la tête. Ça vaut bien un embout de guidon...
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Re: Plus forts que Météo-France
Merci pour le récit et bravo pour la performance!
J'ai déjà eu la grêle et franchement j'étais pas fière, pas fière du tout!!!
(Pour les curieux: http://griselda-la-piloteuse.skyrock.co ... ire-2.html )
J'ai déjà eu la grêle et franchement j'étais pas fière, pas fière du tout!!!
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La page FB de la CASIM33:
https://www.facebook.com/PerfectionnementMotoCASIM33
Mon blog:
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Griselda
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Griselda
Re: Plus forts que Météo-France
Salut Anne
Félicitation pour l'exploit réalisé ce week-end : si j'étais moins frileux, j'aurais regretté de ne pas en avoir été.
Tu es une vraie "warrior"
Les roulages d'une journée vont te paraitre faciles maintenant, et ceux qui vont se trouver dans ton groupe de roulage vont devoir assurer
Bises
Félicitation pour l'exploit réalisé ce week-end : si j'étais moins frileux, j'aurais regretté de ne pas en avoir été.
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Bises
- Averell
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Re: Plus forts que Météo-France
Ah wé quand même !
Ben moi c'est simple : rien qu'à lire ce CR, j'ai froid.
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Quand est-ce qu'on mange ?
- Oliv5568
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Re: Plus forts que Météo-France
et faim ?Averell a écrit :Ah wé quand même !
Ben moi c'est simple : rien qu'à lire ce CR, j'ai froid.
- Averell
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Re: Plus forts que Météo-France
Ah ben justement, puisque tu en parles...Oliv5568 a écrit : et faim ?
Quand est-ce qu'on mange ?
- Oliv5568
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Re: Plus forts que Météo-France
Nan mais tu imagines ?Averell a écrit :Ah ben justement, puisque tu en parles...Oliv5568 a écrit : et faim ?
"Nous n'avions qu'un chocolat chaud dans le ventre depuis la veille"
Pas pour toi ce genre de périple...
- Averell
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Re: Plus forts que Météo-France
Ta vie sexuelle ne nous regarde pas.Oliv5568 a écrit : "Nous n'avions qu'un chocolat chaud dans le ventre depuis la veille"
Quand est-ce qu'on mange ?
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Re: Plus forts que Météo-France
Ha ben là, chapeau bas, quel chemin parcouru en deux saisons . Bravo!!
Plus je me juge, moins je m'estime, mais plus je me compare, plus je me rassure.
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Re: Plus forts que Météo-France
Ben dis donc, à propos de cette escapade ! J'avoue que j'aime bien nos "drôles de conditions" propres au roulage CASIM en Ile de France, mais là, l'idée d'être dans une tente sur de la neige et sous de la pluie... comment dire ? Tu m'as fait mal, rien que de l'imaginer !
- Val
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Re: Plus forts que Météo-France
Bravo et merci pour ce partage Anne.
Vous êtes des fous heureux quoi.
T'imaginais-tu pouvoir vivre une telle aventure dans de telles conditions il y a 2 ans ?
En tout cas, moi assise dans mon fauteuil j'ai bien eu froid à te lire.
Vous êtes des fous heureux quoi.
T'imaginais-tu pouvoir vivre une telle aventure dans de telles conditions il y a 2 ans ?
En tout cas, moi assise dans mon fauteuil j'ai bien eu froid à te lire.